Le Monde Déploiement - abes.fr · 3 DEUST, près de 40 DESS, 4 licences pro-fessionnelles (dont...

Questions d'une enseignante

Les dons d'un recteur

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Le système universitairede documentation

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DéploiementL'Université Paris XII -- Val-de-MarneÀ la veille d'intégrer le Sudoc

L'UVSQDe Paris en province

BULCOBibliothèque de l'Université du LittoralCôte d'Opale

Première en province et troisième de FranceL'université pluridisciplinaire de Nantes

Réseaux à la Réunion

N° 24 octobre - novembre - décembre 2001

PlantuLe Monde, 13 juin 2001

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Affiche de la Comédie de Paris, 1957

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Le système universitaire de documentationConsultation

& formationExpérimenter… le SU & cataloguer… le WEB

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Coopération documentaireuniversitaire & transfrontalièreLusophonieF. Utéza, Montpellier

Ibérique Amérique !M. Bincaz & M-C. Mathès, Toulouse

CDROM & CD-ROMDans la bibliothèque de CalvinA. Jacquesson & B. Levrat, GenèveL’Europe de l’eauEURASLIC & IAMSLIC sont en bateau…S. Saunier, Lyon

Des évêchés aux universitésC. Ménil, Le MansDe Reims à Oradéa et vice-versaC. El Bekri-Dinoird, ReimsDes « PC » pour Nijni-NovgorodA-M. Houlette, Grenoble

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N° 19 juillet - août - septembre 2000« Planisphère » de Almada Negreiros sur

la jaquette du n°149/150 de Colóquio Letras

N° 18 avril - mai - juin 2000

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Le système universitaire

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Une nouvelle étape

du projet

Accompagner

le déploiement

et l’expérimentation

Livres anciens

& précieux

CCNPS

Centres régionaux

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Périodiques pilotes

Diplôme, L’Histoire, Nature, Science…

C. Ménil, Le Mans

6 000 périodiques pour 24 000 étudiants

M. Berger et alii, Lyon

Le poids des périodiques étrangers

Les préférés des chercheurs et des étudiants à Perpignan

F-G. Belledent & C. Tuxagues, Perpignan

Revues valorisées à l’université

“Gestion et valorisation des périodiques”, un nom qui en dit long

D. Ferré, Rennes

* Libération, 4/01/2000. Cf. Science & technologie : Indicateurs 2000, rapport

de l’Observatoire des sciences et des techniques, sous la direction de Rémi Barré,

Économica & OST, 2000

Hit-parades

Le hit de la BIUP

La bibliothèque interuniversitaire de

pharmacie est cadist en cosmétologie

1er Cosmetics & toiletries

2e Cosmétique magazine

3e Parfums cosmétiques actualités

Le top 30

de la BIUMLes 30 revues les plus consultées

à la bibliothèque interuniversitaire

de médecine

Revue(s) à CUJAS

Périodiques étrangers

et intergouvernementaux

“ Pour la première fois

depuis 50 ans, l’Europe dépasse

les États-Unis en nombre d’articles

publiés dans les revues scientifiques.”*

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Àl'occasion de cette nouvelle annéeuniversitaire, Arabesques a le plai-sir d'accueillir de nouveaux lecteurs,

mais plus encore de nouveaux utilisateursdu catalogue collectif Sudoc* ; Sudoc quise dote d'un nouveau moteur de recherche.Nous souhaitons que celui-ci apporte une aideefficace à tous.Par ailleurs, le déploiement des bibliothèquescontinue.

Comme dans les numéros précédents, vouslirez dans les pages qui suivent quelquestémoignages de bibliothèques se préparantà cet événement important pour elles maisaussi pour les équipes de l'ABES qui, à cejour, ont déjà aidé les deux tiers des biblio-thèques prévues dans le cadre du marchéactuel, à se déployer.Espérons que cette nouvelle année verra lacommunauté universitaire de plus en plus

satisfaite de l'outil mis à sa disposition pourmieux connaître la documentation disponibleen France.Notre souhait est aussi que le rayonnementdu Sudoc puisse dépasser nos frontières.

Sabine BarralDirectrice de l'ABES

* www.sudoc.abes.fr

rabesques n° 24 octobre - novembre - décembre 2001

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Arabesques plébiscité

Éditorial

Sur la uneAffiche de la pièce du recteur Robert Mallet, L'Équipage au complet. SCD de l’université d’Amiens.Dessin de Plantu, Le Monde daté 13 juin 2001.

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Le système universitaire

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Documents « en ligne »

Le déploiement

Nouvelles notices

Les centres régionaux

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Fonds nordique

Bibliothèque Ste-Geneviève

La Nordique

N. Jullian & H. Vincenot, Paris

Réseau documentaire sur le web

F. Bermann, Caen

À la BDIC

Du début du XXe siècle au début du XXIe

M. Suzzoni, Paris

Situation à Saint-Étienne

M-C. Achard, St-Étienne

Mètres carrés en Franche-Comté

S. Desseigne, Besançon

À l’INRP

De la fiche cartonnée au catalogage partagé

C. Sibille, Paris

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N° 21 janvier - février - mars 2001

À tous pour 2001

tous les vœux d’

Le système universitaire de documentationExpérimenter le SU…

suite & finQuatre temps du

déploiementWebOPC

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N° 20 octobre - novembre - décembre 2000

Dessin de Plantu Le Monde25 – 26 juin 2000

Rue de Grenelle

Ministère de l’éducation nationaleDirection de l’enseignement supérieur

EurorégionF. Roubaud, Arras

Biblio. en EspagneA-M. Duffau, Madrid

1846 : bibliothèque2000 : http://www.efa.grÉ. Rocchetto, Athènes

Réseaux romainshttp://www-urbs.vatlib.itC. Baryla, Rome

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Au cours du 1er semestre de l'année2001, après plus de 20 numérosd'existence, Arabesques a demandé

à ses lecteurs leurs opinions et recueilli leursidées et propositions.Revue de l'Agence bibliographique de l'en-seignement supérieur, Arabesques s'inté-resse à… la documentation dans l'ensei-gnement supérieur ; les réponses auquestionnaire viennent donc, dans la trèsgrande majorité des cas, des services dedocumentation ou des centres de recherchedes universités. Des enseignants -- etmême des étudiants ! -- se sont aussi mani-festés ; ainsi que des « étrangers »… à laFrance ou à l'Université ; comme l'AbbayeNotre-Dame de Jouarre et la direction géné-rale du ministère de la Justice.Très largement positives, les réactions, rare-

ment négatives, sont souvent constructives.Des exemples, bien sûr !On trouve idéal, en bloc, la « périodicité tri-mestrielle, la pagination en 20 ou 24 pages,le format A4 », à la Bibliothèque publiqueet universitaire de Genève ! Certains aimenttellement, qu'ils voudraient un mensuel.À Caen, on juge très bien, le sommaire surla couverture ; ailleurs, on le préférerait,à la fin ; donc transformé en table desmatières ? À Bordeaux, on signale la qua-lité de la mise en page, de l'impression, ducontenu informatif…Un « mensuel professionnel de l'ensei-gnement supérieur », revue connue et recon-nue, une consoeur donc, recommanded'améliorer la visualisation des rubriques.Souvent, on souhaite un agenda plus fourni,plus de pages sur le système universitaire de

documentation ou les documents électro-niques ; et plus de précisions sur tous lesproduits et services proposés par l'ABES.Des enseignants suggèrent de présenter l'actualité, documentaire et universitaire,par aire culturelle, par discipline, par document type : les thèses, les incunables,l'Amérique latine, la médecine…Et puis, ce serait beaucoup mieux : sur leweb de l'ABES, en vignette, les unes d'Arabesques.

Merci à tous. Et même sans questionnaire,écrivez-nous ; électroniquement -- [email protected] -- ou traditionnellement-- 25 rue Guillaume-Dupuytren 34196 MONTPELLIER CEDEX 5.Enfin, last but not least, voyez le web.

http://www.abes.fr

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Le système universitaire de documentationwww.sudoc.abes.frGroupes de travailThèses

Basculement & déploiement

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U3M – Un comité stratégique

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Lettre de protestation contre le bavardage

des femmes dans la bibliothèque15 décembre 1906Bibliothèque de la Sorbonne

De la Sorbonne à la Seine-Saint-Denis

Quelques moments dans la vie du SCD d’une université

Après 68, la plaine Saint-DenisAu sud de la LoireDe Poitiers à Pau en passant par Bordeaux

Histoire médiévale, fonds ancien et archives privées à Poitiers

Université de la Rochelle, an VIIIUne université… et un SCD de proximité

Sibil, Sudoc & SicodDu Pic du Midi d’Ossau aux Trois Couronnes

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N° 22 avril - mai - juin 2001

Premiers statuts de l’Université de ParisAoût 1215Bibliothèque de la Sorbonne

De Sibil au Sudoc


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Le système universitaire de documentation www.sudoc.abes.fr

Rendez-vous pour une interface

DéploiementSuite & fin : le déploiement des hors sources

Écran d'affichage abrégé de la future interface de recherche du Sudoc

Déploiement : intégration, entrée dans le système universitaire de documentation, le Sudoc.Hors source : bibliothèque de l'enseignement supérieur ne participant pas à une source de catalogage partagé de monographies, avant son

entrée dans le Sudoc.

Sont entrés les premiers dans le système universitaire de documentation, les 7 sites pilotes et les 34 centres régionaux des publications ensérie. Puis, les bibliothèques y sont progressivement intégrées, en fonction des trois sources de catalogage ; donc en trois temps.

Des changements importants vont bientôt êtrevisibles par les utilisateurs du Sudoc sur le Web.L'installation d'une nouvelle interface d'inter-rogation est en cours et apportera des amé-

liorations à la recherche dans la base. Entreautres, il sera possible d'effectuer des recherchesspécifiques sur les thèses, les revues, etc. Denouveaux index et tris seront disponibles, les

temps de réponses meilleurs qu'aujourd'hui.Rendez-vous dans un prochain numéro d'Arabesques, qui vous donnera tous lesdétails de cette nouvelle interface.

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1 - Arabesques [Texte imprimé]Agence bibliographique de l’enseignement supérieur (France) / ABES 1995-

2 - ArabesquesShammas, Anton / Actes Sud / 1988

3 - ArabesquesStock / 19XX

4 - ArabesquesRetté, Adolphe (1863-1930) / La Plume / 1899

5 - Arabesques mythologiques, ou Les attributs de toutes les divinités de la fable ... ouvrage fait pour servir à l’éducationde la jeunesseGenlis, Stéphanie Félicité (comtesse de) / Chez Charles Barrois / 1810

6 - Deux arabesques pour le pianoDebussy, Claude / A. Durand / cop. 1904

7 - Arabesques : romanShammas, Anton / Actes Sud / 1988

8 - Stock arabesquesStock / 1980

9 - L’art décoratif ottoman : tulipes, arabesques et turbansDenoël / c1982

10 - Arabesques sur glaceJouk, Stanislav / Éditions du Progrès : [diffusion ALAP] / cop. 1978

Votre commande était :recherche (ou) (mots du titre (mot)) arabesquesVoici 40 résultats.Ceci est résultats 1 - 10.


1. « Les bibliothèques BN-Opale »2. « Les bibliothèques SIBIL-France »3. « Les bibliothèques AUROC

-- Association […] OCLC ».Quatrième temps du déploiement, il reste àintégrer les bibliothèques ne participant pasà une source de catalogage ; ce sont « lesbibliothèques hors sources ».4. « Les bibliothèques hors sources »Les établissements qu’il est prévu d’ inté-grer dans le système universitaire de

documentation, au cours du dernier tri-mestre 2001 et du premier trimestre 2002,ont été divisés en deux groupes. Au total, pour plus de 350 postes informatiques sur plus de 20 sites, plus de 200 personnes doivent s'initier au travail

(catalogage, prêt entre bibliothèques,etc.) dans le système universitaire de documentation.Les personnels des DOM-TOM viendront

se former en France métropolitaine.

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Arras

Angers

Clermont-Fd BMIU

Le Havre

Bretagne Sud

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Nantes

Strasbourg 2

Littoral

Île de FranceÎle de France

CTLES - Marne-la-ValléeMazarine - ParisSorbonne - ParisFNSP - ParisParis 2Paris 12Évry-Val-d'EssonneVersailles-St-Quentin-en-Y.

25 octobre 2001 Lancement de la dernière phase de déploiement

Fin du déploiement 6 mars 2002

Novembre Décembre 2001 Janvier 2002 Février

Groupe 2 Préparation Déploiement Démarrage

26 nov. 18 janv. 21 janv. 22 fév. 25 fév. 6 mars

Groupe 1 Préparation Déploiement Démarrage

29 oct. 7 déc. 10 déc. 25 janv. 28 janv. 6 fév.

Antilles et GuyaneCorseLa RéunionNouvelle-CalédoniePolynésie française

.../... Le système universitaire de documentation

« Les bibliothèques hors sources »

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L'Université Paris XII a fêté ses 30ans fin 2000. Elle a été créée en 1970,à partir de composantes déjà ouvertes

antérieurement (le CHU Henri-Mondor à Cré-teil, la faculté de droit à La Varenne Saint-Hilaire, l'IUT), sur des bases pluridiscipli-naires, son thème principal étant l'hommeet son environnement dans tous ses aspects.Des enseignements sont délivrés dans presquetoutes les disciplines (excepté l'odontologie,

la pharmacie, la psychologie et l'histoire del'art). C'est aujourd'hui une communauté de24 000 étudiants, 1 200 enseignants-chercheurs permanents et 600 personnelsadministratifs, techniques et de biblio-thèque, qui mène ses activités sur une dizainede sites en Val-de-Marne (à Créteil, quiaccueille les 2/3 des effectifs, La Varenne,Thiais,Vitry), mais aussi en Seine-et-Marne(Fontainebleau et Sénart). Paris XII est main-

tenant classée parmi les grandes universitéspluridisciplinaires.*Un autre trait est la part des enseignementsprofessionnalisés : sur plus de 150 diplômesnationaux hors IUT et médecine, on dénombre3 DEUST, près de 40 DESS, 4 licences pro-fessionnelles (dont une en médiation cultu-relle qui comprend une option lecturepublique) et 9 IUP.

L'Université Paris XII -- Val-de-MarneÀ la veille d'intégrer le Sudoc

Près de 1 600 places sur 10 500 m2

Budget hors investissements :environ 10 MF par an -- 1,5 M€

Système informatisé de gestion de bibliothèque : Aleph 500 - ExLibriscommercialisé par Datapoint

Sept bibliothèques intégrées dont quatrebibliothèques principales ouvertes entre 52 h 30 et 57 h 30 par semaineÀ noter : ouverture en octobre de la BU desciences économiques et gestion à Créteil-Mail des Mèches dans 3 000 m2 neufsPlus de 220 000 livres, avec un flux annueld'accroissement de 12 000 à 15 000 volumesPlus de 1 700 titres de périodiques en cours

Trois bibliothèques associées1.Bibliothèque de l'Institut d'urbanisme deParis - 16 000 livres, 80 revues, un fondsancien2.Centre de documentation européenne3.SCUIO : service commun universitaired'information et d'orientation

Fonds particuliersBibliothèque du psychologue Ignace Meyerson -- legsBibliothèque et archives d'Henri Laborit -- dépôt

Un réseau de cédéroms multisitesUne offre de documentation en ligne dansle cadre de consortiums : Science Direct,Econlit, embase.com, ABI, Chemical Abstracts en ligne, Kluwer, Lamyline,Springer Link, Wiley Interscience ; ainsique l'accès à la Bibliothèque des Lettres(Bibliopolis) et au Kompass.

Un catalogue collectif des périodiques du site médical de CréteilUn site Web donnant accès en intranet à des documents numérisés - sujets d'examen.265 000 prêts, 5 300 transactions de prêtentre bibliothèques en 2000Une équipe de 80 personnes dont 69 titulaires (25 A et B) ; mais un tauxd'encadrement inférieur à 3 agents pour 1 000 étudiants…

L'université est en train de négocier lecontrat 2001-2004. Les axes prioritaires duprojet pour la documentation sont :- faire de la documentation un atout pour

la réussite des étudiants en formant lesétudiants à la méthodologie documentaire,en développant l'assistance aux utilisa-teurs, en développant l'autoformation eten créant de bonnes conditions d'étudedans les salles de lecture ;

- accompagner le développement de larecherche en développant l'offre docu-mentaire, en donnant accès aux ressourcesélectroniques en ligne et sur cédérom, enédifiant un système d'information et envalorisant la production et le patrimoinescientifique de l'université ;

- favoriser l'intégration dans le tissu éco-nomique et dans l'environnement localet international en proposant des servicesdocumentaires aux partenaires du milieusocioéconomique environnant, en tra-vaillant en partenariat avec les biblio-thèques municipales et les archivesdépartementales pour le fonds local, endéveloppant le rôle culturel de la biblio-

thèque, en renforçant la participation auxéchanges internationaux et programmesinternationaux de l'université ;

- faire évoluer les compétences et l'or-ganisation pour améliorer la qualité duservice en améliorant la structuration duréseau documentaire, en évaluant les ser-vices et en développant les entretiensd'évaluation, en renforçant la formationdes personnels, notamment aux nouvellestechnologies de l'information et de lacommunication, à l'accueil du public…et au système universitaire de docu-mentation.

Le SCD de Paris XII est fortement engagéà cette rentrée dans plusieurs actions :- le démarrage d'une nouvelle biblio-

thèque, par suite du transfert de l'UFR desciences économiques et gestion à Cré-teil-Mail des Mèches, et le transfert decollections des sections de La Varenne etdu centre multidisciplinaire de Créteil(CMC) ; il s'ensuit également des travauxde réaménagement des collections à lasection droit de La Varenne et au CMC,une mise à jour du catalogue, l'extensiondu réseau de cédéroms, le démarrage d'unnouveau site Aleph ;

- la programmation du transfert à l'horizon2004 de l'UFR de droit de La Varenne àCréteil sur un nouveau campus, avec unebibliothèque de près de 3 000 m2 ;

- le passage de la V12 à la V14 d'Aleph500,(quand la V14 sera complètement opéra-tionnelle) ;

Le SCD à la rentrée 2001

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- le passage pour la gestion des périodiquesdu module Datatrek au module Aleph500 ;

- l'augmentation des postes informatiquespublics ;

- des actions de formation des étudiants, dontun module de pré-professionnalisation à ladocumentation, une participation à la licenceprofessionnelle en médiation culturelle ;

- le lancement d'un projet d'autoformationà la documentation ;

- la refonte des documents d'information dupublic ;

- une évolution du site Web ;- … et la préparation de l'intégration dans

le Sudoc.

« HS ! »Pour une bibliothèque « HS ! » (hors-source)et candidate en 1998 à l'expérimentation dessites pilotes, c'est enfin l'intégration complètedans le réseau national de la documentationuniversitaire. Enfin, car après s'être lancée ily a un peu plus d'une dizaine d'années dansune informatisation locale, dont le mérite estquand même d'avoir permis un catalogue entiè-rement informatisé, et après avoir frappé (maistrop tard) à la porte des réseaux de catalogageen 1994-1995, Paris XII va sortir de son rela-tif isolement. Les attentes sont fortes, ainsi queles interrogations.Les attentes : un allègement du catalo-gage et une amélioration de la qualité desnotices ; une réduction des délais de miseà disposition des ouvrages ; enfin unemise à jour en ligne des notices de pério-

diques ; une aide plus grande au choixdes acquisitions ; une meilleure connais-sance du fonds de Paris XII au sein duréseau.Les interrogations : l'articulationSudoc/système local ; une organisation dutravail et un circuit de traitement desdocuments à revoir en fonction dunombre de licences consenties et desmodalités de travail, notamment une arti-culation entre tâches d'acquisition ettâches de catalogage à faire évoluer.Pour finir, un espoir, celui que le Sudoc faci-lite le signalement de la documentation acces-sible en ligne et la mise en place d'un sys-tème d'information complet.

P. [email protected]

* Paris XII est composée de 7 UFR,3 instituts (2 IUT et l'Institut d'urbanisme de Paris), 1 Centre de formation des maîtres et des services communs, dont le SCD. La for-mation à la recherche est organisée en 5 écolesdoctorales, les chercheurs étant eux-mêmesaccueillis dans une soixantaine d'unités etd'équipes. Les effectifs en 2e et 3e cycles sontmaintenant majoritaires, puisqu'on compte 48 % en 1er cycle, 38 % en 2e cycle et 14 % en3e cycle. Le secteur tertiaire a un poids impor-tant : 41 % des étudiants sont en droit-écono-mie-gestion et AES, 21 % en lettres et scienceshumaines, sciences de l'éducation et sciencessociales et urbanisme, 15 % en sciences et techniques et STAPS, 12 % en médecine,11 % en IUT.

La salle de lecture de la bibliothèque du centre multidisciplinaire de Créteil

à sa réouverture après rénovation en septembre 1999

.../... L'Université Paris XII

Paul Mengal, président de l'université Paris XII -- Paris-Val-de-MarnePierre Carbone, directeur du SCD ✆ 01 45 17 70 02 70 32

SCD 61 avenue Général-de-Gaulle 94010 CRÉTEIL CEDEX


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L'UVSQDe Paris en province

La jeune Université de Versailles et Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ),depuis dix ans, ne cesse de progres-

ser. De 1985 à 1991, l'antenne délocaliséede Paris X-Nanterre donne naissance aucentre universitaire de St-Quentin-en-Yve-lines. De 1987 à 1991, l'antenne délocali-sée de Paris VI-Pierre-et-Marie-Curiedevient un centre universitaire scientifiqueà Versailles. Un autre centre universitaire,technologique, avec des laboratoires derecherche à Vélizy, ouvre en 1991 avecantennes à Rambouillet en 1993 et àMantes-la-Jolie en 1995.C'est le 22 juillet 1991 que naît officielle-ment l'UVSQ.Cette université est pluridisciplinaire et mul-tisite.* Elle occupe 94 000 m2 de locaux répar-tis sur St-Quentin-en-Yvelines,Versailles, LeChesnay, Meudon, Vélizy, Rambouillet etMantes-la-Jolie. 11 000 étudiants y sont ins-crits dont 48 % en DEUG, 10 % en IUT,29 % en 2e cycle, 11 % en 3e cycle et 2 % enécole d'ingénieur ou relations internationales.591 enseignants-chercheurs ou chercheurset 426 personnels IATOS et ITA-CNRSles encadrent.

Le SCD de l'UVSQÀ l'origine, les antennes des universités pari-siennes n'ont pas de bibliothèques univer-sitaires et des locaux provisoires hébergentencore les services documentaires. Le ser-vice commun de la documentation, leSCD, se dote de statuts et se met en placeen 1998.Les locaux provisoires occupent actuellementun total de 3 122 m2, sous forme de biblio-thèques de proximité. À Versailles, labibliothèque universitaire scientifique de 932 m2 offre 110 places de lecture pour les4 000 étudiants du campus scientifique. Sonannexe, la bibliothèque de recherche de phy-sique et chimie de Meudon offre une ving-taines de places aux chercheurs. La bibliothèque de sciences sociales et huma-nités, la bibliothèque de sciences juridiqueset politiques et la bibliothèque de la de la gare offrent un ensemble de 1 470 m2

et 291 places de lecture, aux 6 500 étudiants.Ces trois derniers sites ont vocation à êtreréunifiés lors de l'installation de la nouvellebibliothèque universitaire de Saint-Quentin-en-Yvelines.

Des constructions… toutes neuvesLes constructions des bibliothèques univer-sitaires financées par la Région Île de Francesont inscrites au XIe plan pour Saint-Quen-tin-en-Yvelines, pour un budget de 118 MFet au XIIe plan pour Versailles avec un budgetde 80 MF. Ces projets atteignent aujourd'huidivers stades d'avancement.

À Saint-Quentin-en-Yvelines, le pro-gramme, réalisé par la société Propt'im, pré-voit 6 000 m2 utiles. L'architecte, CharlesCarré, est chargé du suivi par le cabinet Ripaultet Duhart. La société G3A, ainsi que l'ÉPA-- établissement public administratif -- sontmandatés par la Région Île de France pourle contrôle du programme. Le permis deconstruire est obtenu, sur le terrain situé 43 boulevard Vauban, en juillet 2001. C'est à l'été 2003 que nous envisageons d'of-frir à nos lecteurs, 1 100 places de lecture,cablées pour une grande partie, dont 90 serontéquipées d'ordinateurs.

La Région Île de France a confié le pré-programme de la construction de la BU scien-tifique de Versailles à la société SETEC Orga-nisation, qui envisage sur le campusuniversitaire des sciences un bâtiment de 3 000 m2 et 500 places de lecture.

1 (un) catalogue sur le WebLa modernisation des moyens du SCD sepoursuit avec un budget de 5,5 MF et uneéquipe de 32 professionnels de la docu-mentation. Quand en 1998, à Saint-Quen-tin, les lecteurs disposaient d'un catalogueautomatisé, à Versailles, le catalogage étaitencore manuel et les fiches bristol s'interca-laient dans les tiroirs de fichiers Borgeaud.Aujourd'hui, depuis février 2001, le cataloguede toutes les bibliothèques universitaires, ycompris les bibliothèques de recherche etd'IUT, est unique et disponible sur le Web.Environ 76 000 ouvrages, certains périodiques,thèses, cédéroms sont ainsi accessibles et doncimmédiatement consultables par les usagers,de tous les OPAC et de leur domicile. Le projet en ce domaine, pour le prochain planquadriennal, est de passer à un système d'in-formation complet.La jeunesse du SCD suscite de nombreusespropositions de dons. Nous les sélectionnons

afin d'accroître notre fonds, tant en qualitéqu'en quantité. Un souci constant est de consti-tuer un fonds patrimonial intéressant.De cette nouvelle accessibilité aux collec-tions, naissent de légitimes besoins et déjàles lecteurs expriment le désir d'une circu-lation des documents entre les différents sitesde l'université.Nous devons donc imaginerun prochain service de navette et assurer l' acheminement des documents de ville enville.Nous avons développé des fonds particuliers,en étroite collaboration avec les enseignants ;c'est ainsi que nous acquérons chaque annéeet mettons à disposition des candidats auxconcours,dans des conditions privilégiées,les ouvrages des programmes des CAPESde physique, chimie, histoire, anglais etlettres modernes. Nous sommes récom-pensés de cet effort par une notable réus-site de nos lecteurs.

En veille sur la musique de Couperin…En matière de publications en série, lesquelque 800 publications papier offertes dansles salle de lecture ne satisfaisaient pas com-plètement les lecteurs. En 2000, grâce à notreparticipation au consortium COUPERIN**,l'offre documentaire connaît une explosionsans précédent. La possibilité pour les cher-cheurs, depuis leur bureau, et les étudiants,depuis les postes de toutes les salles de lec-ture, d'interroger via des moteurs de rechercheperformants plus de 1 800 revues scientifiqueset économiques connaît un grand succès ; plusde 4 000 connections mensuelles à ACS, AP,Elsevier, IOP, KLUWER, Springer, Willey etbientôt AIP, APS. En lettres, la « bibliothèquedes lettres » de Bibliopolis et Frantext sontappréciés.L'accès aux bases de données juridiques -- ECONLIT en essai, LAMYLINE, DOC-TRINAL -- est disponible à la rentrée 2001.Il y a encore beaucoup à faire pour donnerà nos chercheurs et étudiants les moyensmodernes de travail et de documentation ; nousavons le projet de parfaire la capacité docu-mentaire et la capacité d'accès dans le pro-chain plan quadriennal. La SDBD** aaccompagné les premiers progrès en parti-cipant au financement, l'université et les UFRégalement ; nous comptons sur la poursuitede tous ces efforts.


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.../... L'UVSQ

L'actualité automnale !Le prochain saut dans le système universi-taire de documentation, le Sudoc, nous lepréparons, et cette nouvelle étape devrait biense passer. Ce que nous en attendons, c'estune simplification du travail de l'équipe decatalogage, lui permettant de consacrerdavantage de temps à la partie la plus inté-ressante du travail, l'indexation, par exemple,ou la mise en cohérence du catalogue pourtout le SCD ; et pour nos lecteurs, une sim-plification dans les recherches, plus de rapi-dité et aussi plus de pertinence. Notre jeuneSCD sera parmi le dernier wagon duSudoc ; nous osons espérer donc que la voiesera rodée !! ! Toutefois, nous sommesconscients que l'intégration de nos don-nées passera par un gros travail local. L'ap-propriation de l'outil de catalogage Sudocentraînera un nouvel effort de formation. Lacellule de catalogage devra développerencore plus le travail de concertation, ce quidans le cadre de l'éclatement de nos sites est un réel exploit ; mais nous comptons

sur le soutien de l'équipe de Montpellier pour mener à bien ce nouveau défi.

De la formation des usagers à l'enseignementdes étudiantsLes nouveaux outils nécessitent un effort deformation des lecteurs à l'utilisation des basesde données. Depuis déjà plus de six ans, laBU de sciences se donne pour mission deformer les étudiants de 1er cycle, licence etmaîtrise à la recherche d'information scien-tifique. Un DESS d'IST** vient d'être habi-lité ; il est l'objet d'une étroite collaborationentre la BU et l'UFR de sciences.Également en lettres et histoire dans le cadrede l'UE3**, les étudiants de 1er cycle reçoivent une formation. Au bénéfice d'une centaine d'étudiants de maîtrise de

l'UFR SSH et des étudiants du nouveauDESS COMITEC -- communication,interculturalité, nouvelles techniques -- ,un enseignement est dispensé en sciencesde l'information. Tous ces cours rentrentdans le cadre des maquettes pédagogiques.Le SCD participe à un enseignement normatif (et sanctionné). Il est, par ailleurs,associé aux travaux destinés à la constitu-tion du nouvel IUP (arts, culture,multimédia) ouvrant ses portes à la rentrée.S'agissant des IUT, sur la demande des enseignants, des formations sontrégulièrement dispensées en début d'annéescolaire.

M. [email protected]

Dominique Gentile, président de l'université de Versailles et St-Quentin-en-YvelinesMichèle Goubern, directrice du SCD ✆ 01 39 25 41 30 & 78 97 78 70

SCD 23 rue du Refuge 78035 VERSAILLES CEDEX

* L'UVSQ est aujourd'hui dotée de 3 UFR, 2 IUT, 1 école interne d'ingénieurs en informatique, l'institut des sciences et techniques des Yvelines (ISTY),26 laboratoires, centres ou équipes de recherche.** COUPERIN. Consortium universitaire de périodiques numériquesIST. Information scientifique et techniqueSDBD. Sous-direction des bibliothèques et de la documentation du ministère de l'éducation nationaleUE3. Enseignement de méthodologie en DEUG

Bibliothèque universitaire de Saint-Quentin-en-YvelinesConcours de maîtrise d'œuvre : cabinet Ripault et Duhart Architecte : Charles Carré


BULCOBibliothèque de l'Université du Littoral -- Côte d'Opale

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La bibliothèque universitaire existedepuis la création de l'Université duLittoral en 1991.

La BULCO est multipolaire. Elle estorganisée en trois sections : Boulogne-sur-Mer, Calais, Dunkerque. L'extension de lasection de Dunkerque a commencé le 27 août 2001, celle de la section de Boulogne est d'ores et déjà programmée.Par ailleurs, une antenne de la bibliothèqueva ouvrir sur le site de Saint-Omer. La BULCO est multidisciplinaire. Toutesles disciplines y sont représentées, à l'ex-ception de la médecine et de la pharmacie.Actuellement, la BU s'organise en SCD -- service commun de la documentation --,service nouveau de l'université dont les statuts ont été votés en octobre 1999.Le SCD va fonctionner avec deux typesd'organes consultatifs : le comité techniqueet consultatif de la documentation et lescomités d'usagers de sites au niveau local.Ils sont mis en place effectivement à la ren-trée universitaire 2001.Le comité technique et consultatif de ladocumentation, structure technique, aide àla mise en œuvre de la politique générale,au bon fonctionnement et à la vie de laBULCO. Structure consultative, il fournitdes éléments, remarques et recommanda-tions sur la gestion et la politique de laBULCO, notamment sur les acquisitions.Il se réunit à la diligence du directeur. Lescomités d'usagers de sites sont des struc-tures consultatives où siègent les usagersinternes. Ils fournissent des avis, remarqueset suggestions sur le fonctionnement, la vieet la politique mise en œuvre. Ils se réunis-sent à la diligence du chef de section ou,si besoin est, du directeur.La BULCO en chiffres. 11 000 étudiantssont inscrits à l'ULCO -- Université du Littoral-Côte d'Opale ; 2 000 inscrits à la section de Boulogne,1 700 inscrits à celle de Calais et 3 200 àcelle de Dunkerque.Actuellement, les trois sections ont,chacune, une superficie de 2 000 m2. L'ex-tension de Dunkerque est de 1 000 m2. Ellesera achevée au mois d'avril 2002. 100 000ouvrages au total constituent le fonds destrois sections. La plupart des ouvrages est en libre accès. 900 périodiques (cor-respondant à un peu plus de 600 titres),

consultables sur place en libre accès et parconsultation semi-directe (collections enmagasin) sont mis à disposition des lecteurs.65 agents (titulaires, CES, contractuels,emplois-jeunes) travaillent dans les trois sections. Horaires et conditions d'accès. LaBULCO est ouverte 56 heures parsemaine, du lundi au vendredi de 8 h à 19 h (à l'exception du mardi : 10 h-19 h)et le samedi matin de 9 h à 12 h.Dès la rentrée 2001, la section de Dun-kerque ouvre 58 h 30.Les ressources documentaires sont accessibles à la communauté universitaire :étudiants, enseignants, chercheurs de l'université du Littoral et des autres universités de la région ; pour ce public l'inscription est gratuite. La BULCO estaussi ouverte à tous les publics qui le souhaitent ; les personnes extérieures àl'université sont soumises à un droit d'inscription de 120 F.

Les services proposésL'OPAC. C'est le catalogue informatiséde la bibliothèque, accessible au publicdepuis la rentrée universitaire 2000. Ilcontient la description et la localisation desdocuments de la bibliothèque de l'Univer-sité du Littoral-Côte d'Opale et permet defaire une recherche, entre autres, parauteur, par titre, par sujet.Le prêt et la réservation des ouvrages sefont à la banque d'accueil.Le PES. Il s'agit du prêt entre sectionsde la bibliothèque de l'Université du Lit-toral-Côte d'Opale. Les lecteurs ont la pos-sibilité d'emprunter, sur les deux autres sec-tions de la bibliothèque, des ouvrages quine sont pas localisés sur leur section. Lesmodalités sont celles du prêt courant. LePES est gratuit pour les livres, et coûte 1 F la photocopie pour les articles de périodiques.Le PEB. C'est le prêt entre bibliothèques.Les lecteurs peuvent avoir accès grâce auPEB à des ouvrages, des articles de pério-diques et des thèses conservés dans d'autresbibliothèques françaises, voire étrangères.Les photocopies. Un distributeur payantde cartes et des appareils photocopieurs sontmis à la disposition des lecteurs.

Le pôle multimédia. À côté des ressourcestraditionnelles des bibliothèques que sontles ouvrages et les périodiques, les nouvellestechnologies prennent une place croissanteen matière de documentation. La BULCOmet à la disposition du public inscrit un parcinformatique d'une trentaine de postes surles trois sites, postes reliés à des impri-mantes. Ce parc va s'accroître avec lesextensions prochaines des sections deDunkerque puis de Boulogne-sur-Mer.Les postes donnent accès sur rendez-vousaux cédéroms, aux bases de données, aurépertoire de sites Web, à la recherche libresur internet. L'adhésion au consortium Cou-perin permet l'accès en ligne aux pério-diques scientifiques, notamment à ceux del'éditeur Elsevier.Le système d'information. L'actualité dela BULCO en matière de nouvelles technologies est le SID -- système d'infor-mation documentaire. La mise en place duSID va commencer par la réalisation d'unsite Web de la BULCO. Grâce à ce site, lepublic pourra avoir accès de chez lui à certains services et à certaines ressourcesde la bibliothèque (OPAC par exemple). Ellese poursuivra par l'implantation d'un système de gestion de documents électroniques.Les solutions actuelles (système intégré degestion de bibliothèque -- SIGB AB6 deSINORG --, système de gestion des cédé-roms en réseau CDLine et répertoire d'ac-cès contrôlé à INTERNET AIE d'Archimed),installées en 1996 et 1997, ont été main-tenues. Le projet ne consiste pas seulementen un « simple » ajout de fonctionnalitésmais consiste surtout en la construction d'unsystème d'information documentaire global(SID) qui permette d'organiser lesrecherches d'informations sur la based'une multiplicité de ressources docu-mentaires électroniques et qui soit ouvertsur les informations de l'université. Ces nou-velles fonctions justifient une mise enconcurrence et ont fait l'objet du cycle clas-sique de mise en œuvre : rédaction d'uncahier des charges, appel d'offres, choixd'une solution. Toute cette démarche s'estfaite en collaboration avec le cabinet deconsultants Six et Dix. La société Archimeda été retenue en juin 2001. L'ouverture duWeb est prévue au dernier trimestre 2001.

…/…

Boulogne-sur-MerDROIT, ECO-GESTION, LETTRES,

SCIENCES HUMAINES, STAPSRelais INSEE

Documentation européenne

Les trois sections du SCD

de l’Université du Littoral

CalaisSCIENCES EXACTES, SCIENCES

ET TECHNOLOGIES, STAPSScience fiction

Saint-Omer

DunkerqueSCIENCES HUMAINES, LETTRES, DROIT,SCIENCES ET TECHNOLOGIES, STAPSRelais INSEEBandes dessinéesCartothèque en projet


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L'animation culturelle. La BULCO a aussiun rôle à jouer en matière d'animation cul-turelle. Cela passe par l'organisation de mani-festations diverses sur les différents sites :expositions, concerts, lectures…La transversalité. La transversalité estessentielle dans le fonctionnement de laBULCO. Elle lui permet de remplir ses mis-sions et de pallier les inconvénients liés àsa multipolarité.Le centre technique du livre. Il est loca-lisé à Dunkerque, centre de catalogage desouvrages, des cartes et des vidéos des troissections. Le centre de reliure y est rattaché.À Boulogne sont traités les périodiques etl'édition électronique, à Calais, les cédéromscommuns aux trois sections.Les groupes de travail. En 2000, ont étécréés 8 groupes de travail transversaux

ouverts à tous les personnels des trois sec-tions : acquisitions, cartothèque, cédéroms,formation, périodiques, recherche docu-mentaire informatisée, service public, vidéo.Nouveau et informel, le groupe de travail,par son rôle consultatif a pour objectif, l'amé-lioration de la vie des usagers et du personnel.Cette description de la BULCO illustre l'or-ganisation et le fonctionnement d'unebibliothèque universitaire multipolaire. Lerôle important donné à la transversalité peutêtre considéré comme un avantage maisnécessite des contraintes d'ordre financieret organisationnel.

Avantage, car elle fait émerger de nouvellespratiques comme le partage du traitementdes documents, le PES et la participation dechaque agent de chaque section à des acti-vités collectives. Contraintes, car elle néces-site une rigueur d'organisation et beaucoupde temps. Cette transversalité impose uneimage et une définition identiques danschaque section.

Daniel Boucher & Mireille Chazal

Daniel Boucher a été nommé membre du conseil d'administration de l'ABES

en mai 2001.

La BULCO et le Sudoc Dans le contexte de mise en place du système d'information, ils est à souligner le rôle important que va jouer le Sudoc. Ce catalogueunique comportant les références de tous les types de documents détenus par les bibliothèques françaises relevant de l'enseignementsupérieur, tels que ouvrages, périodiques, thèses, cartes et documents audiovisuels, est un outil indispensable pour la bibliothèque. La BULCO ne fait partie d'aucun réseau de bibliothèques (BN-Opale, AUROC, SIBIL). Le déploiement des bibliothèques hors sourcesva débuter au troisième trimestre 2001. La BULCO va se déployer dans le premier groupe, de novembre 2001 à janvier 2002. Son démar-rage dans le Sudoc aura lieu le lundi 28 janvier 2002.Un comité de pilotage a été créé pour accompagner ce déploiement. Ce comité comprend : un coordinateur local Sudoc (le responsabledu centre technique du livre), un coordinateur pour la reprise des données, les membres du personnel responsables du traitement desouvrages, périodiques, thèses, cartes, documents audiovisuels et PEB. À ce groupe de professionnels se sont jointes la responsable desservices informatiques de l'université ainsi que la responsable technique de la BULCO.

Daniel Boucher, président de l'université du Littoral --Côte d'OpaleMireille Chazal, directrice du SCD [email protected] ✆ 03 28 23 74 70 74 79

SCD 55 avenue de l'Université BP 5250 --59379 DUNKERQUE CEDEX 1

.../... BULCO

La BULCOSection de Dunkerque


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Première en province et troisième de France

F ondée pour la seconde fois en 1962,après une interruption de plusieurssiècles, l'Université de Nantes

accueille à ce jour, toutes disciplinesconfondues, plus de 33 000 étudiants enformation initiale sur sept sites - cinq àNantes, un à Saint-Nazaire et un à laRoche-sur-Yon. Avec 1 735 enseignants-chercheurs de tous statuts dont 1 023 titu-laires du supérieur, 878 personnelsIATOSS, 75 personnels de bibliothèqueet 180 personnels relevant du CNRS,l'Université de Nantes est la première uni-versité omnidisciplinaire de province et latroisième de France.* Son potentiel scien-tifique est en plein essor. En douze ans, lenombre d'équipes de recherche et de laboratoires associés a triplé pour atteindre73 actuellement. L'Université de Nantes se distingue par un taux de croissance de ses effectifs supérieur à la moyenne nationale. Jeunesse et croissance caracté-risent également la bibliothèque univer-sitaire.

Alors que paraissait le rapport Miquel,à la fin des années 80, la bibliothèque universitaire de Nantes ne possédait que 90 000 volumes. La carence des acquisi-tions ne favorisait guère la coopération entre les enseignants-chercheurs et la bibliothèqueuniversitaire.

Au début des années 90, l'équipe de la bibliothèque universitaire partit donc à lareconquête d'une partie de son lectorat. Un budget en très sensible augmentation et un soutien des collectivités locales

permirent de développer en priorité les collections, de rénover une partie des locauxet de programmer une informatisation.La rétroconversion des fichiers démarra peutavant l'implantation des quatre modules du système de gestion DYNIX. Les deuxchantiers furent menés à leur terme en 18 mois, en 1992 et au début de 1993. Parmi les trois réservoirs de notices agréés,la bibliothèque universitaire de Nantes portason choix sur celui de la Bibliothèque nationale mais opta pour une dérivation desnotices à partir du cédérom plutôt que pourle travail en ligne. Les lecteurs nantais disposèrent ainsi, dans des délais trèscourts, d'un catalogue de notices de qualité et entièrement informatisé.Aujourd'hui, grâce à un budget annuel de 14 millions, la bibliothèque poursuit son essor au rythme de plus de 20 000 ouvrages acquis par an.L'université la soutient dans son effort pourcompléter ses fonds sur des périodesantérieures à sa création. Le catalogue dela bibliothèque universitaire, qui est devenucollectif, compte 320 000 titres et 480 000localisations, dont 270 000 titres et 420 000localisations pour ses propres sections. Plusieurs bibliothèques d'UFR ont été intégrées -- langues, droit, économie,IRESTE, ISITEM ; certaines utilisenttoutes les fonctionnalités de DYNIX,d'autres reversent leurs notices dans le catalogue de la bibliothèque universitaire.Des organismes extérieurs --école centrale,observatoire régional de la santé, chambrede commerce et d'industrie -- participent également au catalogue collectif local.Réseaux de cédéroms et périodiques électroniques complètent l'offre docu-mentaire.

Bien intégré dans son université, le servicecommun de la documentation se structureet occupe maintenant une place importantedans le schéma de développement de l'université. Une section de technologiesouvre à la rentrée 2001. 16 000 mètrescarrés de construction sont programmés.

Des formations à la documentation intégréesdans les cursus sont assurées par les per-sonnels de la BU. Des coopérations avecdes organismes d'enseignement supérieurde la région nantaise sont à l'étude.L'entrée dans le Sudoc constitue doncune étape attendue.Les premiers avantages escomptés sont :- un taux de 80 % de récupération de

catalogage, notamment pour lesouvrages étrangers, depuis la saisie desnotices d'acquisition jusqu'à la noticebibliographique proprement dite ;

- la mise à disposition du plus grandnombre possible de sources de catalogage ;

- une aide pour la conversion de petits catalogues de bibliothèques associées ou autres ;

- le meilleur niveau possible de catalo-gage dans le cadre d'un catalogage collectif ;

- une fluidité du prêt entre biblio-thèques ;

- et, enfin, des tarifs qui ne grèvent pas les budgets.

Dans ce contexte, le SCD a besoin de s'appuyer sur des outils performants, quiaméliorent la qualité du service et allègentla charge d'une équipe restreinte, dont l'objectif premier est le service public.


* Troisième de France en 2000/2001, aprèsParis I : plus de 34 500 étudiants

Paris X : plus de 33 600 étudiants

IATOSS : Ingénieurs, administratifs,techniciens, ouvriers de service et de santé

IRESTE : Institut de recherche et d'enseignement supérieur aux techniques de l'électronique

ISITEM : Institut des sciences de l'ingénieur en thermique énergétique et matériaux

Yann Tanguy, président de l'université de NantesMichelle Guiot, directrice du SCD ✆ 02 40 14 12 30 12 51

SCD Chemin de La-Censive-du-Tertre BP 32211 -- 44322 NANTES CEDEX 03

BU de NantesSection : droit -- économie


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L'Université de la Réunion a été crééeen 1982, après avoir été un centreuniversitaire rattaché à Aix-Mar-

seille. Marquée par une augmentation forteet constante du nombre d'étudiants -- 4 800 en 1990/91, 10 960 en 2000/01 --et de l'éventail des formations proposées,elle connaît un développement accélérédans le domaine des constructions, la der-nière réalisation en date étant celle de ladeuxième tranche de la BU droit-lettres,livrée en septembre 2001. Cette univer-sité jeune s'appuie sur une politiquedocumentaire active coordonnée par leservice commun de la documentation,d'ailleurs ouvert à l'ensemble des publicsde l'île -- avocats, journalistes, etc.

La nouvelle bibliothèqueUne salle de lecture dans un environne-ment documentaire en libre accès restruc-turé dans un espace unique (1er étage etmezzanine) de 4 000 m2, sans rupture entrela première et la deuxième tranche.10 salles de groupe réparties sur le niveaude l'atrium, dont certaines sont dédiées àune fonction particulière (consultation de lapresse,préparation de concours administratifs).Des postes informatiques en satellites desix dans la salle de lecture, individuels dansles carrels réservés au 3e cycle, groupésdans la salle de formation (10 postes).Un espace recherche-formation au 3e

étage, à proximité des bureaux du per-sonnel, avec deux salles de professeurs, unespace de 22 carrels pour les 3e cycle, unesalle de formation informatique, une sallede réunion à proximité du fonds professionnel.Au rez-de-chaussée, l'espace océan Indienrassemblera les fonds de la bibliothèquespécialisée sur les îles de l'océan Indien,une sélection de sites sur la zone et les acti-vités d'un service sollicité pour desactions de formation, d'échanges docu-mentaires, de mise en réseau de ressourcesd'organismes de recherche et de biblio-thèques universitaires de la région.

La coopération dans la « zone océan Indien »Le mois de mai 2001 a marqué la fin dela première étape d'un projet de coopéra-tion documentaire baptisé « Média-thèque et bibliothèque électronique de

l'océan Indien » --MBEOI. Dans le cadrede l'université virtuelle francophone, ceprojet réunit la bibliothèque universitaired'Antananarivo et 13 partenaires, dont la

BU de la Réunion pour son fonds « Îlesde l'océan Indien ». L'objectif de MBEOIest la constitution et la mise en ligne sur internet d'une base de données sur les

Réseaux à la Réunion

Carte de Madagascar et des Mascareignes tirée de l'ouvrage de Nicolas San


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documents scientifiques et techniquesproduits par l'océan Indien et sur l'océan Indien afin de permettre leur localisation et leur circulation en les

mettant à la disposition des chercheurs,des étudiants et de la communauté scien-tifique francophone et internationale(http://hala.refer.mg/mbeoi/).

Ce catalogue commun sera, lors d'uneseconde phase, élargi aux références descollections d'autres bibliothèques de la zone.Par ailleurs, une mission d'expertise a étémenée au mois de décembre 2000 aux Sey-chelles pour l'aménagement de la nouvellebibliothèque de l'Alliance française àVictoria ; les liens créés avec cet éta-blissement se renforceront avec l'envoid'une ou deux personnes de la bibliothèqueuniversitaire chargées d'assurer une for-mation aux techniques documentaires debase et à la gestion informatisée d'un fonds.Du 27 août au 6 septembre, 11 directeursou adjoints de BU et de bibliothèques derecherche malgaches ont été accueillis etformés, à la demande des responsables duprojet MAD-SUP, qui est un programme decoopération entre la France et Madagascarpour l'enseignement supérieur. D'autresdemandes d'actions de formation et decoopération qui concernent le Zimbabwe,Maurice et les Seychelles sont en attente.Un programme d'appui aux projets decoopération interuniversitaire de soutienà la formation et à la recherche (projet PAS)dans le cadre de l'Agence universitairede la francophonie devrait nous permettre,s'il est financé, d'organiser en juillet 2002un séminaire sur le thème suivant :« le rôle de la coopération et des échangesdans l'évolution des politiques docu-mentaires des bibliothèques universi-taires et de recherche dans la zone dusud-ouest de l'océan Indien ».

La formation interne etcelle des étudiants et desenseignants-chercheursOutre la formation cyclique des tuteurs debibliothèque, le SCD a mis l'accent sur laformation des étudiants de première annéeà la méthodologie documentaire. Mais deplus en plus de demandes se font jour et desformations à la carte sont également orga-nisées pour des étudiants de maîtrise, deDESS et pour les étudiants de l'école doc-torale récemment mise en place.L'autre axe prioritaire de formation concerneles personnels qui préparent des concoursexternes ou internes : des cours sont orga-nisés en fonction des besoins recensés, ainsiqu'un entraînement systématique à l'oral pourles candidats admissibles.

Sanson, L'Affrique en plusieurs cartes nouvelles et exactes. Paris, 1656.

…/…


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Nouvelles technologies etbibliothèque électronique

Le catalogue du SCD est disponible sur le siteWeb de la bibliothèque, ainsi qu'une présen-tation de l'offre de services de l'établissement.Le réseau de cédéroms est accessible depuisles postes de consultation installés dans lesdifférentes BU (sciences, droit-lettres,Tampon) mais également depuis l'IUT deSaint-Pierre . D'autres postes sont autorisésà accéder à ce réseau, en fonction desdemandes particulières émanant des labora-toires des chercheurs.Enfin, l'accès à de nombreuses bases d'articles,de sommaires et de périodiques en ligne (Aca-demic Press, Elsevier, Information Quest) serabientôt complété par l'acquisition de Lamy-line et d'une nouvelle base de données en lettres.

Quels que soient les problèmes que nous ren-contrerons dans les prochains mois, il faudravite les dépasser pour en affronter de nou-veaux concernant les constructions futures.Deux nouvelles bibliothèques attendent de voirle jour dans les années à venir (programmeU3M) : un bâtiment pour les sciences sur lecampus du Moufia et un autre pour le site duTampon dont la bibliothèque actuelle est toutà fait sous-dimensionnée par rapport aunombre de lecteurs.

Et le Sudoc ?

Le SCD de l'Université de la Réunion faitpartie des établissements hors sources. L'entrée dans le système universitaire dedocumentation est donc programméepour la fin du mois de janvier, toutes les opérations de préparation et de déploiement devant se dérouler à partir du mois de novembre. Si nul cyclone ne vient perturber ce calendrier, le mois de février commenceraavec un établissement modernisé,agrandi et intégré au système universitairede documentation.

Des inquiétudes demeurent pourtant. Le fait de travailler en ligne ne va-t-il pasnous faire perdre de la souplesse dans letravail de traitement documentaire ? Les débits internet vers la métropole et les heures d'affluence sur le réseau vont-ils ralentir les opérations courantesde catalogage ? Que se passera-t-il en cas de problèmes ?La distance et le décalage horaire -- deuxheures en été métropolitain, trois heuresen hiver -- constitueront forcément des han-dicaps.

Michel Boyer Président de l'université de la RéunionAnne-Marie BlancDirectrice du SCD ✆ 02 62 93 83 79

SCD 15 avenue René-Cassin BP 7152 97715 SAINT-DENIS DE LA RÉUNION

Une université pluridisciplinaire

Un site principal dans le nord,à Saint-Denis.Un campus dans le sud, au Tampon.Un IUT dans le sud, à Saint-Pierre.Un IAE en centre-ville à Saint-Denis.10 690 étudiants, 343 enseignants,236 non-enseignants.Budget documentaire : 3 850 000 FCollections : 130 000 ouvrages,1 372 abonnements, 1 200 revues en ligne, 36 titres de cédéroms en réseau, 57 en consultation mono-poste, catalogue consultable sur le Web.Public et personnel : 9 087 lecteurs ins-crits, 34 titulaires (filière bibliothèque).Le SCD à Saint-DenisUne bibliothèque de droit et lettres etune salle spécialisée « Îles de l'océanIndien » -- 7 000 m2 dont 4 000 livrés enseptembre.Une bibliothèque de sciences -- 1 100 m2 --,des bibliothèques associées en droit, éco-nomie, mathématiques, sciences de la terre.Le SCD au TamponUne petite bibliothèque (350 m2) dedroit, économie et lettres pour les pre-miers cycles, de sciences et techniquesdes activités physiques et sportives, desciences de l'éducation (fonds de l'IUFM).

La BU de droit et de lettres de l’Université de la Réunion

.../... Réseaux à la Réunion

A.-M. Blanc [email protected]

V. Mesgouez [email protected]

Valérie Mesgouez SCD de l'Université de la Réunion

✆ 02 62 93 83 88 83 64

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Questions d'une enseignante

Uue arrivée récente dans la « grosse »université du Mirail --Toulouse II --m'a permis de mieux évaluer ce qui

avait été mon pain quotidien pendant un trèslong séjour à l'université des Antilles et dela Guyane. Il ne s'agit pas en l'occurrence pourmoi de comparer ce qui n'est pas comparable,mais de cerner les besoins, les missions, lesmoyens dans une situation étonnamment éloi-gnée, et d'en témoigner.L'UAG n'était à mon entrée qu'un centre uni-versitaire, devenu université de plein exerciceà partir de 1981, avec moins de 5 000 étu-diants sur deux sites en discontinuité géo-graphique, maritime. Les effectifs pouvaientparaître insignifiants, mais pour autant lesbesoins qualitatifs demeuraient. Cette régiona alors connu une véritable explosion de laprésence universitaire en moins de vingt ans.À mon départ, l'UFR de lettres et scienceshumaines atteignait, à elle seule, ces effectifset il fallait ajouter quatre autres UFR, un ins-titut pluridisciplinaire, un IUT, un 3e cycle demédecine, un troisième site à 2 000 km,quelques délocalisations… et quelques oublisde ma part. Elle délivrait 26 diplômes et 9 men-tions de diplômes. Comment gérer autant debesoins, et si diversifiés, de documentation ?Ma discipline, l'histoire médiévale, un brinexotique sous les cocotiers, m'avait rendueparticulièrement attentive aux contraintesdocumentaires. Voilà un savoir qui, autant pourles étudiants que les enseignants, ne seconstruit que grâce à la lecture et à la réflexion.Chargée de mission du président pour lapolitique documentaire, puis présidente duconseil d'administration de la BU, j'étais bienplacée pour accompagner cette réflexion. Lasituation en Martinique était quasiment celled'un monopole, et donc d'une lourde res-ponsabilité scientifique et pédagogique. Pasd'autres ressources, à part quelques volumes,à la Bibliothèque Schoelcher de Fort-de-France. De plus, la jeunesse de l'universitéla rendait orpheline de collections que desgénérations passées de conservateurs n'avaientpu constituer faute d'existence. Partir de peuet tout à construire ! Le choix fondamen-tal, évident par la limitation des moyens

humains et financiers, avait été d'implanterune BU centrale, sans bibliothèque d'UFRou de section, impliquant une centralisationdes besoins et de leur traitement.L'histoire offre la particularité d'une productionéventuellement pléthorique et pas toujours dequalité, mais souvent riche et foisonnante. J'aiapprécié de trouver, chaque mois dans moncasier, les photocopies de la revue Les livresdu mois, pour les rubriques de ma discipline,et de pouvoir ensuite, avec la bibliothécairespécialisée, établir les listes de commandes.J'ai encore plus apprécié le passage au libreaccès, malgré la masse des travaux et amé-nagements nécessaires, qui ont été pris dansla refonte et l'extension du bâtiment même.La répartition des volumes en aires disciplinaires,la classification offraient à l'étudiant en quêtedu livre sur son exposé de quoi trouver l'équi-valent et découvrir plein d'autres choses. Finiesles étagères endormies,désormais l'urgence étaitau rangement après utilisation !Ce qui m'a souvent troublée a été de classerles priorités en terme d'acquisitions, sachant quel'alternative signifiait parfois l'exclusion et l'aban-don d'un secteur. Les étudiants ou les ensei-gnants ? L'enseignement ou la recherche ? Lesvolumes ou les revues ? Les manuels ou lesthèses ? Le Moyen Âge ou les Antilles ? Lesdiplômes --DEUG, LICENCE, MAÎTRISE --ou les concours --CAPES,AGRÉGATION ?La réponse, lapidaire, peut se résumer ainsi :les étudiants, l'enseignement, les volumes,les manuels et les thèses et les collections,les Antilles, les diplômes et les concours.Il a donc fallu trier en permanence les besoinsà court terme et ceux plus lointains. Offrir,aux étudiants de premier cycle, l'outil dontils ont besoin, mais dans une panoplie diver-sifiée, suivre la construction du savoir his-torique par l'acquisition systématique desouvrages incontournables, anticiper lesbesoins des concours par le suivi de l'actualitééditoriale.Et nous avons fait cela, pour un budget d'en-viron 60 000 F par an, couvrant l'histoire et

l'histoire de l'art, pour un département sans doutele plus gourmand, en tout cas le plus deman-deur pendant très longtemps en Martinique.Mais aussi, accepter de ne disposer ni desrevues de sa spécialité, ni des sources éditéeset instruments de travail divers, ni des fon-dements documentaires de ses propres orien-tations de recherche. Comprendre, dans unpartenariat mémorable avec le personnelde la bibliothèque, que la priorité enrecherche allait au fonds documentaire surla Caraïbe, l'UAG étant centre-ressource auniveau international.Mais alors, découvrir de manière très précocetous les moyens possibles et imaginables pourcontourner l'isolement et l'éloignement. Leprêt entre bibliothèques a vu ses délais passer,pour satisfaire une demande, de 8 mois vers1980 à 10 jours en 1998 ; l'interrogation desbases de données, Francis et autres, les liai-sons transpac, les cédéroms, les postesinformatiques de consultation des fonds docu-mentaires et, très tôt, internet avec un cortègede formations à l'utilisation du réseau. Dirais-je que l'expérience a été passionnante ?


Longtemps enseignante en Martinique,Mireille Mousnier est professeure d'histoiremédiévale à l'Université du Mirail.UFR d’histoire ✆ 05 61 50 44 17

5 allée Antonio Machado 31058 TOULOUSE CEDEX 1

« L'implantation de formations supérieuresest le gage de l'attraction régionale des DOM-TOM. […] La géographie n'est peut-être pasle handicap que l'on imagine trop facilement. »Jack Lang. Cf. VIE UNIVERSITAIRE n° 41 juillet-août 2001.

Alain Arconte a été nommé le 27 juillet 2001administrateur provisoire de l'université desAntilles & de la Guyane.

Les Antilles ou le Moyen Âge ? Les manuels ou les thèses ? Les volumes ou les revues ? Les étudiants ou les enseignants ? L'enseignement ou la recherche ? Les diplômes -- DEUG, LICENCE, MAÎTRISE -- ou les concours -- CAPES, AGREGATION ?

UAG BP 771 bd Légitimus 97173 POINTE-À-PITRE CEDEX GUADELOUPESCD BP 7210 - 97275 SCHOELCHER CEDEX MARTINIQUE


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Les dons d'un recteurLe Fonds Robert Mallet de la bibliothèque universitaire d'Amiens

Robert Mallet, ancien recteur des académies d'Amiens et de Paris,a récemment fait don, à l'Université Jules-Verne de Picardie,d'une grande partie de ses archives personnelles.

Le Fonds Robert Mallet a pour vocation de rassembler, de conserver et de mettre à disposition des chercheurs l'ensemble des documents ayant trait à sa double carrière d'universitaire et d'homme de lettres.

Le recteur et le poète

Né en 1915, d'origine picarde,Robert Mallet, après des études supé-rieures de lettres et de droit, se

retrouve lieutenant d'infanterie dans un régi-ment breton engagé sur le front de Lorraine.Il est blessé en septembre 1939 et reprend duservice en juin 1940. Fait prisonnier en défen-dant un pont sur la Loire, il s'évade et, touten travaillant à ses deux thèses, participe à la Résistance dans des missions d'agentsecret.Docteur en droit et docteur ès lettres, avec unethèse sur Francis Jammes, il commence en1949 sa carrière comme conseiller littéraireaux éditions Gallimard. Il y dirige les col-lections La Bibliothèque idéale, consacrée auxauteurs contemporains, et Jeune poésie NRF.Il est également critique littéraire et auteur denombreuses émissions littéraires à la Radio-diffusion française, dont les Entretiens avecPaul Léautaud sont parmi les plus célèbres.Il réalise les éditions critiques de plusieurs cor-respondances d'écrivains, dont la Corres-pondance Gide-Claudel ; il obtient en 1955le Grand prix de la critique pour son essai surAndré Gide, Une mort ambiguë. En 1959, il quitte les éditions Gallimard pourprendre un poste universitaire. Détaché parl'université d'Aix-en-Provence comme pro-fesseur de littérature française à Madagascar,il contribue à y fonder la faculté des lettres ;il en devient le premier doyen. En 1964, aumoment de la régionalisation, il est rappeléen France pour fonder l'académie d'Amiens,dont il est le premier recteur. Il y organise, enmars 1968, le colloque d'Amiens consacréà la réforme de l'enseignement. Après les évé-nements de mai, il est nommé recteur de l'aca-démie et chancelier des Universités de Paris,

Dernière page du programme de la Comédie de Paris présentant L'équipage au complet etSatire en trois temps, quatre mouvements de Robert MALLET


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fonction qu'il assumera durant onze années(1969-1980). Il est nommé par Edgar Faure,alors ministre de l'Éducation nationale, pré-sident de la commission de la vie de l'étudiantet il est chargé d'appliquer la réforme née dela loi d'orientation universitaire : créer les douzeuniversités de la région parisienne, àpartir des cinq facultés traditionnelles deParis. En 1961, il a été l'un des fondateurs del'AUPELF (Association des universités par-tiellement ou entièrement de langue française),dont il sera un moment l'un des présidents(1972-1975). En 1974, il est à l'origine de lafondation du MURS (Mouvement universelde la responsabilité scientifique) ; il en assu-mera quelques années la présidence. Il a pré-sidé également le comité permanent des mon-dialistes de France.Parallèlement à cette importante carrière,Robert Mallet poursuit son itinéraire litté-raire. Son œuvre, riche et variée, est faite d'es-sais, de pièces de théâtre, de romans, de recueilspoétiques, dont beaucoup ont été couronnéspar des prix prestigieux :Prix Pelman de théâtre pour sa pièceL'Equipage au complet,Grand prix de Poésie de l'Académie française pour le recueil Silex éclaté,Prix des libraires pour son roman Ellynn.Il a également obtenu en 1959 le prix du jour-nal intime et en 1993 le prix mondial Cinodel Duca pour l'ensemble de son œuvre. Il estmembre de l'Académie royale de langue etde littérature françaises de Belgique et de l'Aca-démie Mallarmé. Il a également présidé le jurydu prix Apollinaire et a été membre du jurydu prix Renaudot.

Le Fonds Robert Mallet

Les pièces du Fonds Robert Mallet viennentillustrer les différentes étapes de ce parcourssingulier. Parmi les documents les plusanciens, figurent des dossiers relatifs auxémissions littéraires qu'il a produites à laRadiodiffusion française : dossiers concer-nant les entretiens radiophoniques avec PaulLéautaud, dossiers préparatoires de l'émis-sion hebdomadaire Belles-Lettres, qu'ilanima durant plusieurs années à compter de1953, etc. D'autres dossiers concernent sonséjour à Madagascar : cours de littératuremoderne, documents témoignant de son inté-rêt pour l'art malgache.De nombreux autres documents ont trait auxactivités exercées comme recteur des aca-démies d'Amiens, puis de Paris, ainsi qu'auxautres fonctions assumées au sein de l'Édu-cation nationale : correspondance, coupuresde presse, dossiers, médailles, etc. Citons éga-lement des documents concernant son acti-vité au sein de l'AUPELF, du MURS, ducomité permanent mondialiste. Plusieurs dos-siers témoignent de ses préoccupations enmatière de protection de l'environnementet de sauvegarde des sites, particulièrementde la région picarde, à laquelle il demeuretrès attaché.Parmi les pièces les plus précieuses, il fautciter les manuscrits de son importanteœuvre littéraire (théâtre, romans, poésie,essais), ainsi que quelques manuscritsinédits. Différents documents concernent sacarrière littéraire : coupures de presse,

articles, études de son œuvre, correspondancereçue à l'occasion de la parution de sesouvrages, etc. Un autre ensemble particu-lièrement intéressant est constitué des textespréparatoires de ses nombreux discours,articles, conférences, allocutions. Les dixmille feuillets d'un journal tenu durant denombreuses années, non communicablepour l'instant, comptent également parmi lespièces les plus intéressantes.

Le don fait par Robert Mallet témoigne deson estime pour une université qu'il a gran-dement contribué à fonder, alors qu'il étaitle premier recteur de l'académie d'Amiens,ainsi que de son attachement à sa régionnatale. Le fonds, confié à la bibliothèqueuniversitaire - section lettres -, est actuel-lement en cours d'inventaire. Un plan de clas-sement sera ensuite élaboré, dans le plusgrand respect des dossiers constitués par ledonateur. Ce fonds tout à fait original, quivient enrichir les collections de la bibliothèque,sera d'un grand intérêt pour les chercheurs.

C. [email protected]

Claire Basquin ✆ 03 22 82 73 13 73 72

Bibliothèque universitaire - section lettresChemin du Thill

80025 AMIENS CEDEX 1

Gilles Demailly Président de l'université Françoise MontbrunDirectrice du SCD SCD 15 placette Lafleur BP 446 80004 AMIENS CEDEX 1

…/…

L'Université de PicardieCréée en 1969, l'Université de Picardie-Jules-Verne est un établissement jeuneet pluridisciplinaire, dont le siège est à Amiens. Accueillant plus de 21 000 étudiants dans ses douze facultés et dix instituts,elle propose un cursus complet dans tous les grands champs disciplinaires.Elle compte une trentaine d'équipes et de laboratoires de recherche, répartisdans les trois grands secteurs de la recherche scientifique : sciences humaineset sociales, sciences fondamentales et appliquées, santé. 1 100 personnelsenseignants et 600 personnels IATOS en assurent le fonctionnement. En plus de son siège situé à Amiens, elle est également implantée dans sixautres villes picardes : Saint-Valéry-sur-Somme dans la Somme, Beauvais etCreil dans l'Oise, Saint-Quentin, Laon et Cuffies-Soissons dans l'Aisne.

Réflexions

Apostilles, ou l'utile et le futile, Paris :Gallimard, 1972. Extraits

On invente des idées, pas des sentiments.Grande science et très grande ignorance font les sages.Les bonnes idées n'ont pas d'âge, elles ont seulement de l'avenir.Les plus forts de nos choix sont secrets.


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Mars 1968. « La meilleure façon d'éviter les révolutions, c'est encore de les faire. » R. Mallet au colloque national d'Amiens consacré à la réforme de l'enseignement.

Décembre 1966. Discours de Monsieur le Recteur Robert Mallet lors de la rentrée solennelle du Centre universitaire de Picardie.

Principaux ouvragesde Robert MalletPoésieL'Egoïste Clé ou le Livre des octosyllabes,Paris : R. Laffont, 1946.Les Poèmes du feu, Paris : L'Ancre d'Or, 1947.De toutes les douleurs, Paris : R. Laffont, 1948. La Châtelaine de Coucy,Paris :L'Ancre d'or,1950.Amour, mot de passe, Paris : Seghers, 1952.Les Signes de l'addition,Paris :Gallimard,1953.Lapidé lapidaire, Paris : Gallimard, 1957.Mahafaliennes, Paris : Gallimard, 1961.Le Poème du sablier, Paris : Gallimard, 1962.La Rose en ses remous, Paris : Gallimard, 1971.Quand le miroir s'étonne,Paris :Gallimard,1974.Silex éclaté, Paris : Gallimard, 1976. GrandPrix de poésie de l'Académie française.L'Espace d'une fenêtre, Paris : Gallimard, 1978.Mots princiers ou l'itinéraire révélé,Périgueux : P. Fanlac, 1981.Le Forgeron me l'avait dit, suivi de Mots princiers, Paris : Gallimard, 1982.L'Ombre chaude, Paris : Gallimard, 1984.Presqu'îles,presqu'amours,Paris :Gallimard,1986.Cette plume qui tournoie,Paris :Gallimard,1988.Semer l'arbre, Paris : Gallimard, 1991.

ThéâtreSatire en trois temps, quatre mouvements,L'Avant-Scène, 1957.L'Équipage au complet, Paris : Gallimard,1958. Prix Pelman. L'innocent coupable (non publié). Télévisionfrançaise, 1963. Le train de nuit (non publié). Télévision française, 1966.

RomansRégion inhabitée, Paris : Gallimard, 1964.Ellynn, Paris : Gallimard, 1985. Prix desLibraires.Les rives incertaines, Paris : Gallimard, 1993.

Essais et critiquesFrancis Jammes, Paris : Seghers, 1950. (« Poètes d'aujourd'hui », 20).Entretiens avec Paul Léautaud, Paris :Gallimard, 1951.Une Mort ambiguë, Paris : Gallimard, 1955.Grand Prix de la Critique.Jardins et paradis, Paris : Gallimard, 1959.Francis Jammes, sa vie, son oeuvre,Paris : Mercure de France, 1961.

Préfaces et notesCorrespondance Francis Jammes - André Gide (1893-1938),Paris : Gallimard, 1948.

Correspondance Paul Claudel - André Gide (1899-1926),Paris : Gallimard, 1949.

Correspondance André Suarès - Paul Claudel. (1904-1938),Paris : Gallimard, 1951.

Correspondance André Gide - Paul Valéry (1890-1942),Paris : Gallimard, 1955.

.../... Les dons d’un recteur


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ASIBU L'annuaire de statistiques des BU

http://fermi2.sup.adc.education.fr/asibu/

ATICAAgence pour les technologies de l'information et de la communicationdans l'administration. JO du 22 août 2001« Art. 1er - Il est créé, pour une durée de troisans […] une Agence […] (ATICA) […].Art. 2. - L'agence identifie les besoinscommuns des services publics en matièred'équipements informatiques et de logiciels. Elle recense l'offre en matière de solutions techniques et de standards… »Jean-Pierre Dardayrol, directeur de l’ATICA

http://www.atica.pm.gouv.fr66 rue de Bellechasse 75007 PARIS

Octobre Du 14 au 18 Managing Resources in a Sea of Change -- 27th Annual

IAMSLIC Conference and the 9th EURASLIC Conference ; au centre de Brest de l'IFREMER -- voir L'Europe de l'eau, p. 14 & 15 dans le n° 19 d'Arabesques.International Association of Marine Sciences Libraries and Information CentersEuropean Association of Aquatic Sciences Libraries and Information CentersInstitut français de recherche pour l'exploitation de la mer

www.ifremer.fr ✆ 02 98 22 40 40BP 70 Technopôle de Brest-Iroise 29280 PLOUZANÉ

Le 15 Les bibliothèques AUROC du groupe 2 entrent dans le Sudoc ;celles du groupe 1 y sont entrées le 17 septembre.

NovembreLe 8 La mise en page du texte poétique le 13 déc. La mise en page

du livre religieux - Journées d'études à l'Institut d'histoire du livre. L'IHL, outre l'École nationale des chartes, concerne à Lyon, l'ENS de lettreset sciences humaines, l'ENSSIB, la BM et le Musée de l'imprimerie.

[email protected]

Le 12 Les bibliothèques AUROC du groupe 3 entrent dans le Sudoc.

À partir du 19 « Par arrêté du ministre de l'éducation nationale et duministre de la fonction publique et de la réforme de l'État en date du 6 juin2001, […] autorisant au titre de l'année 2001 l'ouverture de concours pour lerecrutement de bibliothécaires adjoints spécialisés, (BAS) […] les épreuvesécrites du concours externe (s'étant déroulées) le 13 septembre 2001, lesépreuves orales des deux concours se dérouleront à partir du 19 novembre 2001. »JO n° 138 du 16 juin 2001

22 & 23 IDATE 2001 -- TÉLÉCOM - MÉDIA - INTERNET --Time for broadband ? Le temps des hauts débits ? à Montpellier ;Yves Gassot, directeur de l'Institut de l'audiovisuel et des télécommunicationsen Europe www.idate.fr ✆ 04 67 14 44 44

BP 4167 - 34092 MONTPELLIER CEDEX 5

Du 22 au 24 Apporter les technologies de l'information à l'éducation ;aux Pays-Bas, à Eindhoven -- Eindhoven University of Technology.Association internationale des universitésAIU/UNESCO House ✆ 01 45 68 25 45

1 rue Miollis 75732 PARIS CEDEX 15

DécembreLe 10 Les bibliothèques AUROC du groupe 4 entrent dans le Sudoc.

Du 10 au 14 Les JRES 2001 à Lyon ; les « journées réseaux » de l'enseignement supérieur sont organisées à l'initiative de RENATER,de l'UREC, du CRU, de l'ENS et du pôle universitaire de Lyon.

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rabesques n° 24 octobre - novembre - décembre 2001 AR

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* L'objet du marché est la « conclusion d'un accord financier entre ABES et Chemical Abstracts Service (CAS), division de l'American Chemical Society. Cet accord permettra l'accès de 33 établissements d'enseignement supérieur et de recherche français à la base de données“Chemical Abstracts” par l'interface SciFinder Scholar. »Ce marché a été conclu pour l'année 2001 ; il est renouvelable, par avenant, en 2002 et 2003.

Chemical Abstracts Service, qui dépend de l'American Chemical Society (ACS),édite aux États-Unis,à Columbus dans l'Ohio,CHEMICAL ABSTRACTS,la revue parexcellence, pourqui s'intéresse à la chimie… où que ce soit dansle monde.Par l'intermédiaire de l'ABES,opérateur administratif et financier qui a signé un marché* avec l'ACS-- cf. p. 2 dans le n° 23 d'Arabesques --,33 établissements de l'enseignementsupérieur en France sont abonnés à ChemicalAbstracts sous sa forme électronique, dansla version préférée des universitaires,Scifinder Scholar.Une opération similaire au « marché CAS »est susceptible de se monter sur une partiedu catalogue de Chadwyck-Healey Limitedpour l'achat de cédéroms et la souscriptiond'abonnements en sciences humaines et littérature.

Orléans

Caen

Reims

Dijon

Lyon

Pau

Bordeaux

Poitiers

Aix-Marseille

Montpellier

Limoges

Tours

Amiens

Rennes

Mulhouse

Nancy

Compiègne

Grenoble

Brest

Le Mans

Nice

Perpignan

Clermont-Fd

Rouen

Nantes

Strasbourg

Toulouse

Les 33 abonnés à Chemical Abstracts

par l'ABES

Île de FranceCNAM : CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET MÉTIERSCOLLÈGE DE FRANCE ESPCI : ÉCOLE SUPÉRIEURE DE PHYSIQUE ET DE CHIMIE INDUSTRIELLESPARIS VIPARIS XIPARIS XII

Directrice de la publication

Sabine Barral

ISSN 1269-0589

25 rue Guillaume-Dupuytren BP 4367

34196 MONTPELLIER CEDEX 5

rabesques ↔ Sylvette Salvit [email protected] ✆ 04 67 54 84 12 Comité de rédaction

F. Berthomier - É. Coulouma - G. Lambert - L. Roussel - S. Salvit

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gence bibliographique de l’enseignement supérieur

Columbus Montpellier

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