Travailler en équipe

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ΔC δeltΔ Conseil Développement de Compétences Travailler en équipe autrement Ou Favoriser le travail en équipe par la coopération

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δeltΔ ConseilDéveloppement de Compétences

Travailler en équipe autrement

OuFavoriser le travail en

équipe par la coopération

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ΔCδeltΔ Conseil

Développement de Compétences

Travail de réflexion en sous-groupe

Objectif:Partager les représentations respectives de la « Coopération » et de la « Compétition »

Pour chacune de ces notions répondre aux 3 questions suivantes :

quels enjeux ? quelles conditions? deux notions compatibles ou incompatibles?

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Développement de Compétences

Coopérer : une nécessité et un état d’esprit

Une idée évidente et légitime comme bonne pratique sociale mais loin d’être spontanée et facile à mettre en pratique.

La coopération ne peut se faire que si elle devient riche de sens et prometteuse

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Développement de Compétences

Quelques exemples de coopération quotidiennes et simples ?

Co-voiturage

Pression concurrentielle (constructeurs automobiles)

Catastrophes naturelles

………………………..

………………………..

………………………..

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Coopérer : une obligation ou un choix ?

• On pense à coopérer quand des contraintes et des urgences compliquent la vie.• On obtient de bons résultats même si, du fait de peu d’expérience des pratiques de coopération, la collaboration sur le terrain n’est pas aisée : problèmes de commandement, d’organisation, de délégation, de coordination• On peut faire le choix de coopérer au nom d’un système plus équitable, plus juste et plus durable.

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L ’idée de coopération a un noyau dur, lequel?

La primauté de l’intérêt général (ou commun)Le partage équitable comme règleLa mise en commun des ressourcesLe parti pris de la confiance réciproque Le rejet de l’idée de concurrenceLe souci du progrès social

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Autres notions proches ou périphériques

Coopérer : idée d’agir, de travailler conjointement avec quelqu’un. Plus largement, coopérer évoque l’idée de contribuer, de participer.

Collaborer : (même préfixe co = avec) met en évidence la volonté et l’effort de contribution. C’est prendre fait et cause, en participant, pour une réalisation

Consulter : effort de collecter des informations, de comprendre les autres ou la réalité d’une situation en vue d’un diagnostic. Preuve d’une mise en commun d’informations et d’un souci de bonne compréhension mutuelle.

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Autres notions proches ou périphériques (suite)

Concerter : idée de discussion ouverte et franche qui aborde tous les aspects d’un problème

Négocier : l’idée renvoie à 3 temps forts - La nécessité de bien consulter- La capacité de confronter les points de vue- La volonté d’aboutir à une solution comprise

C’est une pratique de co-construction de solutions acceptables et prometteuses. Quand elle tourne à l’épreuve de force, elle ne remplit pas sa finalité

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Contexte socio-économiqueEntreprise génération 1.0 Entreprise génération 2.0

Organisation hiérarchique Organisation horizontale

Cloisonnement Participation

Procédures complexes et lourdes

Procédures simples et flexibles

Relations hiérarchiques Relation entre tous

Information gardée Information partagée

Outil du Web 1.0 :messagerie électronique, site institutionnel, etc

Outils de type réseau sociaux d’entreprise

Formation en salle E-learning + formation en salle

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EXERCICE 1

Faite le diagnostic de votre prédisposition culturelle à vivre en groupe

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Comment développer un comportement coopératif?

Les attitudes coopératives sont le fruit d’une lucidité personnelle et d’un apprentissage social

Un climat de groupe peut changer radicalement notre conduite et ce malgré nous. Nous avons spontanément des comportements différents selon les environnements

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En étant capable de dépasser ses réflexes de défense.

Sortir de la justification permanente de ses opinions personnelles et dépasser la comparaison systématique de sa propre valeur à celle des autres

Tranquilliser le souci de l’image à donner de soi aux autres qui nourrit ce besoin de considération et d’estime ; « et vous, que pensez de vous-même ? »

Accepter que toute réalité n’a pas besoin d’être classée, expliquée pour être vécu avec plaisir et intérêt.

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« Adieu, dit le renard, voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. »

Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupéry

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En étant capable de dépasser ses réflexes de défense.

La peur du jugement, de décevoir, le risque de désapprobation, engendre de la timidité.

Mais aussi peut avoir un effet pervers du « ce que je dois faire pour apparaître un bon collègue »

• on adopte un comportement avec lequel on n’est pas toujours d’accord • certains jouent un « personnage » ou portent un

masque• d’autres sont dans la séduction

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En étant capable de dépasser ses réflexes défense.(suite)

Il convient d’éviter de dévaloriser les autres, de les mettre en insécurité, de provoquer leurs défenses tout autant qu’il est avisé de se tranquilliser sur son image personnelle

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Des membres très unis par sympathie, par intérêt, se désolidarisent de l’ensemble du groupe parce qu’ils ne veulent pas faire de tort à l’un d’entre eux.

Situation opposée : des réactions de jalousie, de vengeance alors que leurs attitudes n’est pas critiquable ni préjudiciable

La peur de jugements ou de sanctions suscite également des tensions et conflits

Extérieurement et ouvertement on manifeste son accord quand le manager est présent , mais on le critique et discrédite dés qu’il a disparu

En étant capable de dépasser les fausses solidarités, les dépendances et les jalousies

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Vivre dans un groupe où règne ainsi les germes permanents de tensions négatives ne favorise en rien ni l’évolution de l’équipe vers plus de coopération; ni celle de ses membres.

En étant capable de dépasser les fausses solidarités, les dépendances et les jalousies (suite)

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En étant capable de dépasser les comportements individualistesLes tensions entre les membres d’une équipe trouvent souvent leur origine dans les rivalités personnelles : désir d’avancement, recherche de promotions. Certaines personnes désirent affirmer, imposer leurs idées ou leurs positions. Comportement individualistes les plus répandus:

Désir absolu d’affirmation, non respect des règles de vie communautaire Le besoin de valorisation, c’est la règle du « moi je »La tendance à dominer, diriger, manipuler, diviser pour mieux régnerLa surélévation de sa contribution personnelle

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En étant capable de dépasser les comportements individualistes (suite)

Il est fondamental d’admettre que la contribution de chacun soit différente, elle est fonction du potentiel. Néanmoins si la participation est différente, la bonne volonté et le désir de bien faire doivent être en communs.

RQ : le degré d’adhésion personnelle au projet de l’entrepris et aux objectifs du travail d’équipe détermine la motivation à coopérer avec les collègues.L’autre partie de motivation dépend du degré de convergence de la satisfaction des intérêts individuels à travers ceux du groupe.

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Comment changer ?

La perception de soi : chacun face à une erreur ne peut continuer à se voiler la face et à croire qu’il ne s’est pas trompé, ou bien que ses erreurs sont négligeables.

La perception d’autrui : en changeant son regard sur soi, le regard porté sur autrui va se modifier, « on n’est pas le seul à avoir des problèmes »

Le changement d’habitudes: pour changer il faut le vouloir.

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EXERCICE 2

Savoir coopérer avec sa hiérarchie

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Qu'est-ce qui incite à collaborer?

La théorie du comportement coopératif.Quand un individu doit-il coopérer ou au contraire se montrer égoïste?Doit-on continuer à rendre service à un ami qui ne rend jamais la pareille?

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Les conditions requises pour l’apparition de la coopération.

La coopération ne peut se développer que si les équipiers se rencontrent fréquemment.

La coopération se fonde sur la réciprocité

Si les équipiers connaissent le principe (la théorie) de la réciprocité, l’évolution pourra être accélérée.

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Faire perdre l’autre ne produit pas les meilleurs bénéfices.

Celui qui utilise la coopération comme stratégie de fonctionnement sera le plus gagnant à long terme

Les stratégie à court terme,« je gagne en te faisant perdre » :• l’agressif attaque systématiquement• Le machiavélique étudie plusieurs coups à l’avance• Le rusé est capable de changer d’avis sans cesse• Le chaotique est imprévisible

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Les principes de la coopération ou stratégie « gagnant-gagnant ».

La bienveillance : c’est mettre en confiance, rassurer sur le fait que l’on ne cherchera jamais à nuire. Cela permet d’apprécier l’avantage qu’il y a à éviter les conflits.

La réciprocité : il n’est pas coopératif parce qu’il est faible ou gentil, mais parce que c’est plus efficace, quand ça ne l’est plus, il sait être compétitif.

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Les principes de la coopération ou stratégie « gagnant-gagnant ». (suite)

L’indulgence: Il ne rend les mauvais coup qu’une fois; à la deuxième fois, il reprend son comportement coopératif. Compte tenu des résistances des autres répliquer plus d’une fois provoquerait l’escalade. En revanche ne pas répliquer serait un signe de faiblesse. Son comportement est un juste équilibre entre punition et indulgence.

La transparence : Il faut encourager la coopération en étant claire sur ses intentions et surtout pas en cherchant à être le plus « malin ». Les actes sont plus efficaces que les mots et des actes faciles à comprendre sont efficaces dans le durée.

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Promouvoir la coopération, comment?

Aucune forme de coopération n’est stable si l’avenir commun n’a pas assez d’importance par rapport au présent.

Savoir se soucier des autres, commencer à être altruiste avec tout le monde et le rester qu’avec ceux qui montrent les mêmes dispositions (CF la réciprocité)

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Promouvoir la coopération, comment? (suite)

La réciprocité si elle se résume à « rendre coup pour coup » comporte un risque d’escalade conflictuelle. Comment l’endiguer tout en se protégeant contre l’exploitation?

En réponse à un comportement non coopératif, rendre la pareille mais à un degré moindre, càd, ce juste choix animé d’indulgence

Réagir rapidement. Plus l’on met de temps à réagir à un comportement non coopératif, plus l’autre peut en déduire que son comportement est adéquat.

Puis confronté la personne en toute transparence et sincérité pour chercher à lui faire comprendre où se situe l’intérêt mutuel. Autrement dit, être assertif et négocier le « gagnant-gagnant »

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EXERCICE 3

Les luttres et les mippes

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La communication, ou comment communiquer efficacement ?

Quelles sont les attitudes défavorables ?1. La mauvaise volonté2. L’hostilité,3. La crainte,4. L’individualisme5. La défiance

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La communication, ou comment communiquer efficacement ?

A quoi reconnaît-on les manières de communiquer en phase avec la volonté de coopérer?

1. Le partage de l’information2. Le filtrage ou le découpage de l’information

afin de transmettre « seulement ce qui intéresse le destinataire » contiennent le risque de subjectivité = censure

3. Savoir sélectionner l’information utile, pourquoi et comment?

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Savoir sélectionner l’information utile, pourquoi et comment?

RQ : Partager l’information ne veut pas dire « arroser » tout le monde de toute l’information dont on dispose

Ce que je sais peut être utile à qui d’autres dans l’équipe pour son travailPeut il éviter de faire une erreur ou gagner du temps?Sous quelle forme et en quelle quantité cette information lui sera le plus utile?A quel moment est-il le plus opportun que je la transmette? Vaut-il mieux attendre qu’elle soit plus complète?Est-ce que je transmets l’information pour me couvrir, me faire plaisir, me valoriser ou pour que réellement mon destinataire s’en serve?Ai-je vérifié la fiabilité de l’information?

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Savoir sélectionner l’information utile, pourquoi et comment? (suite)

Est-ce que je transmets l’information en mon nom ou suis-je le porte-parole et l’ai-je bien précisé?Cette information est-elle intelligible au premier abord? Ai-je fait l’effort pour être explicite ou ai-je formulé un message que moi seul peux comprendre?Est-il plus approprié que je transmette cette info par écrit ou de vive voix? Attention de ne pas tomber dans le piège de transmettre par écrit les informations désagréables et les informations agréables à l’oral.Mon message est-il suffisamment clair et concis pour être compris? Le contexte est-il rappelé pour faciliter le lien avec la mémoire?

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Savoir sélectionner l’information utile, pourquoi et comment? (suite)

Si je transmets une information en provenance de quelqu’un d’autre, l’ai-je consulté et ai-je obtenu son accord?Quand je transmets une information à quelqu’un, pour qui d’autre est-ce utile? Pour quelles raisons?Quand je diffuse à un groupe de personne ai-je bien vérifié de n’oublier personne ou que je ne diffuserai pas à des personnes superflues?

RQ : Il s’agit d’optimiser la quantité et la qualité afin d’éviter de noyer les informations utiles sous un flot d’inutiles.

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Produire de l’information influente

Informer son manager : mieux vaut faire remonter avant qu’on vous le demande et ainsi garder la main sur ce que l’on transmet.Gérer son stock d’information : attention de ne pas toujours informer les même en premier, faire tourner.Faire vite : une personne attentive au travail des autres tout autant qu’au sien devient capable de diffuser l’information très vite.Faire simple: nous sommes tous très occupés , allez à l’essentiel en respectant les règles de politesse.

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La sélection de l’information: ne pas diffuser que l’information qui irait dans le sens de ses intérêts personnels.

L’amputation de l’information : c’est la configuration d’ensemble qui donne un sens à chaque élément.

La transformation du contexte : soit en passant vite, soit en détaillant, soit en faisant un commentaire, on modifie le relief de l’information sans altérer les faits

Produire de l‘information influente et non tendancieuse.

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La diffusion d’une information erronée ou fausse: d’abord diffusée puis niée, l’effet final n’est pas nul. (on enregistre plus le positif que le négatif, plus l’affirmation que la négation).

La diffusion prématurée : peut avoir des effets ravageurs sur la crédibilité des auteurs, attention aux effets d’inquiétude.

La diffusion d’informations confidentielles: soit pour se faire valoir , soit par manque de discernement. La confidentialité est demandée, convenue et fait l’objet d’un engagement personnel à respecter. Briser cet engagement est antinomique à l’esprit de coopération

Produire de l‘information influente et non tendancieuse.(suite)

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EN RESUME

La gestion de l’information pose trois problèmes à résoudre :1. La volonté du détenteur non seulement d’informer, mais le plus

juste possible2. Les plaintes des destinataires sous le poids de la quantité diffusée3. La capacité ou autorisation de répondre

L’assimilation de l’information exige de réunir trois conditions :4. Un auteur crédible qui inspire confiance5. Des destinataires motivés pour en prendre connaissance6. Des informations intéressantes en soi et représentant une valeur

d’utilité pour ceux qui la reçoivent.

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EXERCICE 4

Coopérer en mode transverse

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La consultation

C’est ce que l’on appelle « demander son avis à quelqu’un et en tenir compte vraiment »

On reconnait une bonne consultation à cinq attitudes

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Le sens de l’objectivité : cela revient à prendre conscience que sur toute question, il existe des points de vue différents des siens. Le travail consistant à réduire les préjugés qui font obstacle à l’objectivité.

Comment ? : - en passant du temps ensemble, l’on commence à percevoir les similarités entre nous.

- en diminuant sa suggestivité, en intégrant les points de vue des autres comme d’autres aspects possibles de la réalité.

5 attitudes favorables à la consultation

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Le sens de la logique de l’autre: c’est faire preuve d’empathie. C’est une démarche d’investigation bienveillante pour essayer de comprendre la logique de l’autre. Cela consiste à :

- S’immerger dans l’univers de l’autre- Comprendre la signification de ses paroles dans sa logique- Etre sensible à ses réactions- Rester indépendant tout en se concentrant sur ce qu’attende et

veut dire l’autre.

C’est un pari de confiance, de coopération. Fini l’épreuve de force, la polémique.Attention aux risques … . Quels sont-ils?

5 attitudes favorables à la consultation (suite)

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Un questionnement ouvert : des exemples plutôt que des explications.

1. «Vous ne pensez pas que l’on devrait retarder le lancement de ce projet? » appelle oui ou non. Mais; « Je préfèrerai que nous retardions le lancement de ce projet, qu’en pensez-vous? »

2. « la réunion ne s’est pas bien déroulée», réponse « mais si ça aurait pu être pire… » Que peut-on dire à la place ?

5 attitudes favorables à la consultation (suite)

« Qu’est-ce qui te fait dire ça? »

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Du feed back: Communiquer, ce n’est pas seulement échanger de l’information. C’est aussi prendre soin de se renseigner sur l’impact des propos que l’on tient.

Une écoute attentive comme première réponse : il y a un vouloir et un savoir écouter.

5 attitudes favorables à la consultation (suite)

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EN RESUME

Si la consultation consiste à interroger sur sa position toute personne concernée par une décision avant qu’elle ne soit prise, sa contribution sera pertinente à 3 niveaux.

1. Qu’elle dispose de l’information pour comprendre ce sur quoi elle est sollicitée

2. Qu’elle ait la capacité d’analyser l’enjeu, les informations et les questions posées.

3. Qu’elle puisse évaluer son intérêt personnel et l’intérêt général.

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Les comportements coopératifs

A l’opposé du conflits, de la discorde, les relations de confiance sont obtenues par des actions spécifiques et reconnaissables : communiquer, échanger, participer dans une volonté de recherche de solutions communes.

L’authenticité se mesure entre l’écart plus ou moins grand entre ce que je dis et ce que je fais.

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Les comportements coopératifs

L ’implication : c’est s’engager activement de manière voulue et consciente.

La disponibilité : s’entend aussi bien en terme de temps disponible qu’en termes d’espace mental. C’est le passage obligé pour une écoute active. Elle s’apprécie dans la durée par sa fréquence et l’humeur égale.

La réserve : c’est ne pas dire ce qu’il convient de garder pour soi, à ne pas faire une demande indiscrète. C’est aussi avoir de la retenue, ne pas étaler ses problèmes personnels.

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Les comportements coopératifs

La sociabilité: c’est la capacité à évoluer en société. Capacité à tenir une conversation, à respecter une étiquette, à se conformer au usage de politesse.

La discrétion : une personne discrète sait respecter la confidentialité, elle est digne de confiance

La fiabilité: est fiable celui ou celle qui peut se tenir aux cotés d’autrui sans faillir et dans la durée. C’est un fondement de la coopération

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Les comportements coopératifs

La gentillesse : se soucier des autres, c’est ce qui nous rend pleinement humains.

La confiance : 2 notions, « confiance en soi » et « faire confiance ».Faire confiance à priori en équipe participe d’une attitude positive et optimiste cohérente avec l’idée de coopération. Oui mais ATTENTION …..

La confiance en l’autre : c’est croire que - Une personne est de bonne foi- une personne a les compétence et l’expertise nécessaire- le responsable nommé a l’autorité nécessaire et suffisante- chacun respectera les règles de fonctionnement (la liberté des

uns s’arrête ou commence celle des autres)La confiance en soi