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Corrections QCM L3-UE « agents infectieux » –session 1 – 2012-2013 Noircir la ou les réponse(s) correcte(s) avec l’icône « trame de fond » (pot de peinture) Bactériologie 1. Concernant le streptococcus β-hémolytique du groupe A A C’est un coque à Gram négatif B Il est la cause principale d’angines bactériennes érythémateuses C Il est toujours résistant aux pénicillines D Est aussi appelé Streptococcus pyogenes E Il peut être responsable de la scarlatine

2. Concernant le pneumocoque A C’est un coque à Gram positif souvent regroupé par deux (diplocoques) B Son principal facteur de virulence est sa capsule polysaccharidique C Il est responsable de pneumonies, sinusites et otites D Le diagnostic bactériologique des infections repose sur la sérologie E Environ 30% des souches sont de sensibilité diminuée aux pénicillines (PSDP)

3. Concernant la légionellose A C’est une maladie due à un bacille à Gram négatif (Legionella pneumophila) B La transmission inter-humaine est fréquente C Elle touche préférentiellement les sujets fragiles D Le diagnostic peut être confirmé devant une pneumopathie avec une antigénurie positive E Son traitement repose sur l’utilisation des β-lactamines

4. Concernant les infections urinaires communautaires A Elles sont souvent dues à Escherichia coli B La cystite aiguë simple est fréquente chez l’homme C Le test de la bandelette urinaire est très employé D L’urine de 1er jet doit être collecté pour l’analyse cyto-bactériologique (ECBU) E Le seuil de la leucocyturie est de 104/ml

5. Concernant le gonocoque A C’est un bacille à Gram négatif B Il est responsable d’urétrites C L’infection due à ce germe est peu/pas symptomatique chez la femme D On le retrouve fréquemment dans l’environnement E Sa résistance aux antibiotiques est en constante augmentation

6. Concernant la syphilis A C’est une maladie due à un coque à Gram positif B Son agent n’est pas cultivable in vitro C Le traitement repose sur l’utilisation de la pénicilline G D Son diagnostic repose sur la sérologie E Le chancre apparaît à la phase tertiaire de la maladie

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7. Concernant les β-lactamines A Leur toxicité est élevée B Ce sont des antibiotiques bactéricides C Sont inactives sur les mycoplasmes D Comportent l’érythromycine et la tobramycine E Agissent en inhibant la synthèse de la paroi bactérienne

8. Concernant les glycopeptides A La vancomycine est un représentant de cette famille d’antibiotiques B Ils constituent le traitement de référence des infections à Staphylococcus aureus résistant à la

méticilline (SARM) C Ils sont néphrotoxiques D Ils sont actifs sur les bacilles à Gram négatif E Ils agissent par inhibition de la synthèse protéique

9. Les principales bactéries responsables des méningites néonatales sont A Listeria monocytogenes B Neisseria meningitidis C Corynebacterium diphteriae D Streptococcus agalactiae E Escherichia coli

10. Les bactéries recherchées par la coproculture standard sont A Escherichia coli B Salmonella sp. C Campylobacter sp. D Shigella sp. E Vibrio cholerae

11. L’endotoxine bactérienne A est thermostable B est un constituant présent chez toutes les bactéries C provoque la formation d’anticorps protecteurs D est libérée seulement par la lyse bactérienne E est responsable de diarrhées toxiniques

12. La capsule bactérienne A existe chez des bactéries à Gram positif B existe chez des bactéries à Gram négatif C est responsable d’un déficit des défenses antibactériennes de l’hôte D est constituée d’un mélange de glucides, de lipides et de peptides E induit une réponse immunitaire spécifique

13. Les maladies bactériennes suivantes peuvent être prévenues par la vaccination A Fièvre typhoïde B Tétanos C Légionellose D Syphillis E Coqueluche

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14. Les agents infectieux ci-dessous sont des causes classiques d'infections nosocomiales A Corynebacterium diphtheriae B Pseudomonas aeruginosa C Staphylococcus aureus D Enterococcus faecalis E Haemophilus influenzae

15. Mycobacterium tuberculosis A se cultive en 10 jours sur gélose standard B est transmis le plus souvent par voie respiratoire C est un pathogène intra cellulaire D est identifié par l’observation de bacilles acido-alcoolo-résistants E peut être détecté dans les prélèvements respiratoires par amplification génique

16. Les bactéries suivantes sont responsables de méningite lymphocytaire A Borrelia burgdorferi B Listeria monocytogenes C Neisseria meningitidis D Mycobacterium tuberculosis E Haemophilus influenzae

Virologie 17. Concernant l’infection par le HIV-1, cochez la ou les proposition(s) vraies A Le diagnostic est clinique B La sérologie de dépistage est un test combiné ELISA C Une sérologie HIV positive doit être confirmée par un Western Blot D Le test de dépistage est réalisé de façon systématique à l’insu du patient E Le test de dépistage se positive dès la contamination

18. Concernant l’infection par le HIV, cochez la ou les proposition(s) vraies A Le HIV est un virus tératogène B La transmission du virus survient surtout au cours du premier trimestre de grossesse C En cas d’infection par le HIV-1, l’allaitement n’est pas recommandé D Le diagnostic de l’infection chez le nouveau-né de mère infectée repose sur les tests sérologiques E Le marqueur de suivi virologique est la quantification plasmatique de l’ARN viral

19. Concernant le virus influenza A, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) A Il s’agit du virus de la dengue B Il comprend deux sous-types circulants chez l’homme, nommés H1N1v et H3N2 C Il peut être responsable de pandémie D Son génome est linéaire et non segmenté, et ne permet pas les réassortiments génétiques E Cassure et glissement antigénique sont 2 modes évolutifs possibles pour ce virus

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20. Fin novembre, un nourrisson de 6 mois se présente aux urgences pédiatriques pour un tableau d’infection respiratoire basse aiguë : A L’examen clinique permettra à lui seul de faire le diagnostic de bronchiolite à Virus Respiratoire

Syncytial (RSV) B Le diagnostic d’infection à RSV repose sur les tests sérologiques C Le diagnostic d’infection à RSV repose sur des tests de détection directe du virus, type

Immunofluorescence ou tests PCR D Il existe un vaccin anti-RSV disponible, et recommandé chez le nourrisson E Le prélèvement de choix à réaliser est une aspiration nasale

21. Des vaccins sont disponibles pour lutter contre les infections virales suivantes : A Infection à influenza virus A et B B Fièvre Jaune C Infection par le rotavirus D Dengue E Encéphalite japonaise

22. Cochez dans cette liste, les virus pouvant être responsables de diarrhées A norovirus B rhinovirus C rotavirus D adenovirus E flavivirus

23. Cochez la ou les proposition(s) vraies concernant les papillomavirus ou HPV A Il s’agit de virus enveloppés peu résistants dans l’environnement B Les HPV 6 et 11 sont associés au cancer du col utérin C Les principaux HPV dits « haut risque » sont les HPV 16 et 18 D Les condylomes acuminés sont des tumeurs bénignes évitables par la vaccination E Les jeunes filles peuvent être vaccinées dès l’âge de 15 ans

24. Concernant l’évolution des virus, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) A Les quasi-espèces décrivent une population virale hétérogène et constituent une stratégie

d’optimisation pour le virus B Les ARN polymérases ARN dépendantes sont fidèles et ne génèrent aucune diversité génétique C La barrière d’espèces est infranchissable pour les virus D Si le taux de reproduction de base (ou R0) est supérieur à 1, l’infection est épidémique E Les agents pathogènes (et les virus en particulier) sont classés sur une échelle de 1 à 10 en fonction

de leur dangerosité

25. Concernant les différentes stratégies d’infection par les virus : A Lorsque, après la primo-infection, le virus est éliminé de l’organisme : l’infection est dite résolutive B L’infection chronique correspond à la persistance du virus sous forme latente C L’infection latente correspond à l’infection guérie D L’infection transformante correspond à l’immortalisation des cellules infectées E L’infection par le HIV est à la fois chronique et latente

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26. Une infection virale chez une femme pendant la grossesse A Est toujours responsable de malformations chez le fœtus. B Peut être transmise « in utero » chez le foetus verticalement, par passage de la barrière placentaire C Peut être évitée par une vaccination quand il s’agit du CMV D Peut être responsable d’une embryopathie/foetopathie quand il s’agit d’une primo-infection par le

virus de la rubéole en début de grossesse E Peut entraîner une anasarque fœtoplacentaire dans le cadre d’une primo-infection par le parvovirus

B19 27. Une femme de 36 ans se présente aux urgences avec un tableau de méningo-encéphalite A La recherche de virus dans le LCR n’a pas d’intérêt B Pour un diagnostic de certitude, la mise en évidence du virus dans le LCR, par biologie moléculaire

est suffisante. C La recherche d’entérovirus est recommandée car un traitement est disponible. D La recherche du virus herpes simplex doit être effectuée en priorité E Si une morsure par un animal domestique est évoquée, la suspicion de la rage est exclue.

28. Une éruption maculo-papuleuse, non prurigineuse est observée chez un enfant de 2 ans. Elle a débuté à la tête, puis est descendue et s’est généralisée. Un catarrhe oculo-respiratoire et le signe de Koplick sont présents. La fièvre a été élevée. A Votre diagnostic est facile, il s’agit d’une rougeole B Votre diagnostic est facile, il s’agit du mégalérythème épidémique, infection par le parvovirus B19 C Le diagnostic de la rougeole doit être confirmé biologiquement D Des complications neurologiques et respiratoires de la rougeole ne sont pas à craindre, ces

complications n’ont jamais été décrites. E La vaccination contre la rougeole en France est recommandée à partir de 7 ans.

29. La mononucléose infectieuse A A pour étiologie le virus Epstein-Barr (EBV) B Est l’expression de la primo-infection par le CMV C Cliniquement, la phase d’état est caractérisée par la triade : asthénie, fièvre élevée et angine

érythématopultacée D Touche seulement les enfants E Il n’existe pas de diagnostic virologique

30. Les herpèsvirus humain A Comprennent toujours dans leur structure une enveloppe B Ont pour réservoir les chevaux. C Sont caractérisés par une infection latente. D Il n’existe pas de traitement efficace E Il existe des antiviraux efficaces mais inactifs sur l’infection latente

31. Le cytomégalovirus (CMV) A Est un virus ARN B Est un virus oncogène C N’a qu’un seul hôte à vie, l’homme D Le virus alterne les phases de latence et les phases de réactivation E Est capable d’infecter toutes les cellules de l’organisme

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Parasitologie-Mycologie 32. Les parasitoses qui « s’attrapent » en métropole française sont : A La bilharziose B L’oxyurose C La toxoplasmose D Le paludisme E L’anguillulose (strongyloïdose)

33. Parmi ces arthropodes, les vecteurs des filarioses sont : A Des poux B Des simulies (moucherons) C Sarcoptes scabiei var hominis (agent de la gale) D Chrysops spp (taon) E Des puces

34. Les toxoplasmes sont transmis à l’homme par : A Piqûre de moustiques B Ingestion des kystes présents dans la viande pas assez cuite C Pénétration transcutanée des larves D Morsure de tiques E Ingestion d’oocystes présents sur les légumes contaminés

35. Les parasitoses responsables d’une hyperéosinophilie sanguine chez un patient qui n’a jamais quitté la métropole française sont : A La toxocarose B La distomatose hépatique (douve hépatique) C L’oxyurose D La giardiose E La toxoplasmose

36. Les hôtes définitif et intermédiaire de Plasmodium falciparum sont : A Hôte définitif = homme ; hôte intermédiaire = anophèle B Hôte définitif = homme ; hôte intermédiaire = phlébotome C Hôte définitif = bovin ; hôte intermédiaire = anophèle D Hôte définitif = anophèle ; hôte intermédiaire = homme E Hôte définitif = anophèle ; hôte intermédiaire = bovin

37. Les parasites transmis par du poisson peu ou pas cuit sont : A Ascaris lumbricoides B Anisakis spp C Diphyllobothrium latum (bothriocéphale) D Entamoeba histolytica (amibe) E Taenia saginata

38. Ces parasites mesurent : A Plasmodium falciparum : moins de 15 microns B Ver adulte d’Enterobius vermicularis (oxyure) : entre 10 et 20 cm C Adulte de Sarcoptes scabei var. hominis (agent de la gale) : entre 1 et 5 cm D Ver adulte d’Ascaris lumbricoides : entre 15 et 25 cm E Kyste d’Entamoeba histolytica (amibe) : entre 300 et 500 microns

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39. Chez la femme, les espèces responsables de vulvo-vaginite avec leucorrhées abondantes sont : A Trichomonas vaginalis B Candida albicans C Aspergillus fumigatus D Trypanosoma cruzi E Toxoplasma gondii

40. Les espèces associées au péril fécal sont : A Plasmodium falciparum B Pneumocystis jirovecii C Strongyloides stercoralis (anguillule) D Entamoeba histolytica (amibe) E Giardia duodenalis

41. Les facteurs de risque d’une candidose invasive sont : A Voyage en zone tropicale B Neutropénie C Antibiothérapie à large spectre D Immunosuppression E Implants médicaux (cathéters)

Maladies Infectieuses 42. Quel(s) est (sont) le (les) composant(s) du syndrome de réponse inflammatoire systémique (SRIS) ? A éruption bulleuse B coma C PaO2 artérielle < 4,3 kPa (32 mm Hg) D Polypnée dépassant 20/mn E tachycardie dépassant 90/mn

43. Lors d’une infection invasive bactérienne à pyogènes (ex : pneumococcémie), quelle(s) est (sont) la (les) anomalie(s) biologique(s) sanguine(s) observée(s) A anémie hémolytique B anémie macrocytaire C polynucléose neutrophile D éosinophilie E élévation de la procalcitonine

44. Chez un voyageur de retour d’un pays tropical, une fièvre due à une arbovirose n’est plus envisageable lorsque cette fièvre apparaît au-delà d’un certain délai après le jour du retour. Quel est ce délai ? A 48 heures B 5 jours C 14 jours D 3 mois E 1 an

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Pharmacologie 45. A propos des médicaments du VIH, cocher les réponses exactes A Les médicaments du VIH sont tous hématotoxiques car dérivée des antimitotiques anti-néoplasiques B Le ritonavir est un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse C Les inhibiteurs de l'intégrase sont une cible nouvelle pour les polythérapies du VIH D La tri-thérapie de base comporte deux INTI et un inhibiteur de protéase E La compliance est un élément clé de la réussite d'un traitement anti-VIH

46. Indiquer les affirmations exactes concernant les céphalosporines de 1ère génération A Elles peuvent entraîner des dysplasies dentaires et des colorations jaunes des dents B Elles peuvent être prescrites en cas d'allergie sévère à l'amoxicilline C Elles sont généralement plus chères que les pénicillines D Elles sont potentiellement néphrotoxiques E Elles peuvent être prescrites aux femmes enceintes si besoin

47. Concernant les aminosides : A Ils ont une toxicité rénale dose-dépendante B Ils ont une toxicité auditive et peuvent induire des surdités définitives en cas d’utilisation prolongée C Les dosages sériques sont recommandés en cas d’insuffisance rénale connue et lorsque le traitement

doit dépasser 7 à 10 jours D La mesure de la concentration sérique au pic permet d’évaluer le risque d’accumulation tissulaire

donc de toxicité E Ils sont bien résorbés par le tube digestif et peuvent donc être administrés par voie orale

Hygiène hospitalière 48. Les infections du site opératoire A Sont moins fréquentes lorsque la peau du malade est rasée avant l’intervention B Sont d’autant plus fréquentes que la durée du séjour préopératoire est courte C Sont limitées par l’antibioprophylaxie D Sont parfois diagnostiquées plusieurs semaines après l’intervention E Sont plus fréquentes chez les patients diabétiques

49. M. Z…, 72 ans, est hospitalisé car il se plaint d’avoir du mal à uriner depuis 2 mois et de ne plus y arriver depuis ce matin. Un sondage urinaire est mis en place, puis 48 heures après cet épisode, il est toujours sondé et présente un tableau infectieux A Une bactériurie > 105 germes/ml confirme le diagnostic d’infection urinaire

nosocomiale B L’infection urinaire est la plus fréquente des infections nosocomiales C Cette surinfection doit être déclarée à l’Agence Régionale de Santé (ARS) D Le sexe masculin est un facteur de risque d’infection urinaire nosocomiale E L’utilisation d’un système de drainage clos limite le risque de surinfection

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Réanimation Médicale 50. Parmi les éléments physiopathologiques suivants, le ou lesquels caractérise(nt) un choc septique ? A Il existe une augmentation du transport d’oxygène B Il existe une augmentation d’extraction tissulaire d’oxygène (O2ER%) C Le principal médiateur de la vasodilatation artérielle est le monoxyde d’azote (NO) D Il existe une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) due à l’activation première de la voie

intrinsèque de la coagulation E L’hypoxie tissulaire est liée à une baisse du débit cardiaque et une vasoconstriction