Un film de JACQUES PERRIN et JACQUES CLUZAUD 20 000 ans ...

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Un film de JACQUES PERRIN et JACQUES CLUZAUD 20 000 ans d’histoire au cœur du monde sauvage JACQUES PERRIN ET JÉRÔME SEYDOUX PRÉSENTENT APRÈS LE PEUPLE MIGRATEUR ET ΩCEANS BATPHIL.COM - Galatée Films / Alexandra Sabathé - Crédits non contractuels.

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Un film de JACQUES PERRIN et JACQUES CLUZAUD

20 000 ans d’histoire au cœur du monde sauvage

JACQUES PERRIN ET JÉRÔME SEYDOUX PRÉSENTENT

APRÈS LE PEUPLE MIGRATEUR ET ΩCEANSB

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AU CINÉMA LE 27 JANVIER 2016

DISTRIBUTIONPathé Distribution2 rue Lamennais75008 ParisTél : 01 71 72 30 00www.pathefilms.com

Dominique Segall CommunicationDominique Segall assisté de Apolline Jaouen8 rue de Marignan75 008 Paris Tél : 06 84 94 10 [email protected]

eva simonet41, avenue de Villiers75017 ParisTél : 01 44 29 25 [email protected]

PRESSE ÉCRITE

JACQUES PERRIN ET JÉRÔME SEYDOUX PRÉSENTENT

Un film de JACQUES PERRIN et JACQUES CLUZAUD

20 000 ans d’histoire au cœur du monde sauvage

TV/RADIO

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Sy n o p s i s

Après avoir parcouru le globe à tire-d’aile avec les oiseaux migrateurs et surfé dans tous les océans en compagnie des baleines et des raies manta, Jacques Perrin et Jacques Cluzaud reviennent pour ce nouveau film sur des terres plus familières. Ils nous convient à un voyage à travers le temps pour redécouvrir ces territoires européens que nous partageons avec les animaux sauvages depuis la dernière ère glaciaire.

L’hiver durait depuis 80 000 ans lorsque, en un temps très bref, une forêt immense recouvre tout le continent. Une nouvelle configuration planétaire et tout est bouleversé. Le cycle des saisons se met en place, le paysage se métamorphose, la faune et la flore évoluent. L’histoire commence…

À un interminable âge de glace succède une forêt profonde et riche puis, sous l’impulsion d’hommes nouveaux, une campagne riante.Les Saisons est une épopée sensible et inédite qui relate la longue et tumultueuse histoire commune qui lie l’homme aux animaux.

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L’Europe, il y a 20 000 ans

Baleines Chouette harfangGenévrier

Pins sylvestres

Mammouth Rhinocéros laineux

Mégacéros Bœuf musqué Renne

ARBRESISOLÉS DE LA STEPPE

Hêtres

Chênes

DERNIERSREFUGESDES ARBRESÀ FEUILLESCADUQUES

Ours blanc

Le niveau des mers est 120 mètres plus bas qu’aujourd’hui

*tiré du Beau Livre édité par Actes Sud

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Ici, sous nos pieds, à Paris comme à Londres ou Berlin, d’immenses forêts s’étendaient jusqu’à l’horizon. Les sous-bois résonnaient du martèlement des sabots des bisons, des aurochs, des chevaux et des cerfs, de leurs brames, mugissements et beuglements. Sur l’Europe tout entière s’est répandu un âge d’or de la forêt, une période durant laquelle les arbres pouvaient mourir de vieillesse, pouvaient mourir debout. Ces arbres qui, au cours des milliers d’années, se sont transformés en une terre riche et fertile, ces forêts d’antan qui font l’abondance de nos récoltes d’aujourd’hui. Sans forêt, pas de sol ni d’eau douce, pas de vie. Nous avons grandi depuis dix mille ans avec la forêt. Elle nous a nourris, chauffés, protégés. Plus encore, elle a nourri nos rêves, nos contes et nos légendes. Elle est le terrain des jeux de notre enfance. C’est le dernier espace de liberté de nos contrées urbanisées. L’homme a besoin des arbres. Pourtant, aujourd’hui, ce sont les arbres qui ont besoin des hommes. Nous vivons une époque chaotique mais passionnante : le temps d’une vie humaine, la civilisation paysanne a disparu ; l’agriculture est devenue une industrie et les campagnes se sont presque vidées de leurs paysans, de leurs fleurs, de leurs papillons et de leurs hirondelles. On se félicite de l’expansion continue de la forêt française et européenne, qui a doublé ses surfaces depuis Napoléon et, dans le même temps, nous saignons à blanc les forêts tropicales et équatoriales. Nous envisageons la forêt comme l’un de nos meilleurs atouts

pour lutter contre le réchauffement climatique mais nous constatons que la majorité des arbres de la planète, s’ils ne sont pas abattus, souffrent désormais d’embolie : le climat devient trop chaud et surtout trop sec. Ces géants fragiles ne seront bientôt plus en mesure de lutter, de contrecarrer la crise climatique.Sachons accepter ces espaces sauvages qui échappent à nos règles, à nos calculs et qui ne répondent ni à nos exigences de rentabilité ni à nos critères esthétiques. L’homme n’a pas seulement besoin des produits de la

forêt, il a besoin de l’imprévisibilité du monde vivant. Il a besoin de rêve, d’aventures, de surprises. Notre soif d’absolu est impossible à étancher. Il lui faut un terrain d’aventure à la mesure de son immensité. En prélude à chacune de leurs palabres, les Iroquois avaient pour coutume de désigner celui qui, parmi eux, parlerait au nom du loup, l’une des figures

emblématiques de leur civilisation. Qui, aujourd’hui, parlera au nom des arbres et des papillons, des crapauds et des loups, des éléphants et des baleines, au nom de tous ces encombrants et ces insignifiants ?

Le biologiste canadien David Suzuki, grand spécialiste de la forêt, écrit que « pour comprendre l’arbre, il faut comprendre la forêt ». Et il termine en appelant de ses vœux une nouvelle déclaration universelle : non plus une déclaration d’indépendance comme il y en a tant, mais la déclaration d’interdépendance de tous les vivants.

A C Q U E SP E R R I NJ

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Quand on chemine aux côtés de Jacques Perrin, qui dit nouveau film dit nouveaux défis. Voler avec les oiseaux au-dessus de la Terre ou bien nager avec les créatures marines à travers les océans représentait certes une gageure, mais nous entraînait nécessairement vers le spectaculaire. Aujourd’hui, comment renouveler le regard sur des animaux aussi familiers et aussi souvent filmés que ceux de nos forêts, du hérisson au renard en passant par la biche ou le sanglier ? Comment redécouvrir ceux qui sont à notre porte ? Comment voir en ces animaux des personnages aussi extraordinaires que les voyageurs du ciel et des océans ?Mais le plus grand défi n’est pas là. Il nous faut non seulement nous approcher de ce peuple des forêts, au plus près de son intimité et de ses courses folles, mais entreprendre avec lui un voyage à travers le temps et l’Histoire. Parcourir avec les animaux sauvages les quelque 12 000 ans qui nous séparent de la fin de la dernière ère glaciaire. Revisiter l’Histoire du point de vue animal et faire un film qui décale le regard que nous portons sur nous-mêmes et sur notre propre histoire, voilà l’enjeu de cette nouvelle aventure des Saisons. Le film commence alors qu’un réchauffement brutal modifie la physionomie du continent

européen. Le monde du froid laisse place à une immense forêt qui recouvre l’Europe. Ce vaste territoire verdoyant devient pour les espèces animales ainsi que pour une poignée d’hommes, des chasseurs-cueilleurs, celui d’un véritable “âge d’or”, des milliers d’années de coexistence pacifique entre ceux qui vénèrent les arbres et la nature sauvage. Puis vient le temps où les arbres commencent à tomber sous les coups des haches de pierre… et l’Histoire

se met en marche. Et si nous portions un regard nouveau sur la relation complexe et tumultueuse que nous entretenons avec la nature ? Au plus près de la faune sauvage, pouvons-nous faire ressentir le joug que l’espèce humaine fait peser sur elle ?Ce ne sont pas les mots qui nous disent ce qu’il convient de penser de ces millénaires de cohabitation, mais l’émotion qui, dans un film de nature, doit savoir se passer de paroles. S’approcher d’un animal n’a pas pour simple but de l’observer

(encore moins d’en apprendre plus sur lui) mais de saisir une attitude, un regard qui, dans les situations les plus diverses, sauront faire naître en nous une émotion créatrice non seulement de compassion mais surtout d’empathie avec la faune sauvage.

A C Q U E SCLUZAUDJ

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epuis un million d’années, l’Europe est régulièrement plongée dans un froid polaire qui la fait ressembler au Groenland. C’est au cours de la dernière ère glaciaire qu’Homo

sapiens sapiens s’aventure en Europe, il y a environ 40 000 ans. Il y découvre des toundras parcourues d’immenses troupeaux de rennes, bœufs musqués, mammouths, rhinocéros laineux, antilopes saïgas et cerfs géants des tourbières. Il dispute ses proies aux loups et aux lions ; pour s’abriter, il conteste aux ours et aux hyènes les cavernes sur les parois desquelles il trace leurs silhouettes puissantes. C’est la longue période du Paléolithique. Il y a 12 000 ans environ, une infime oscillation de l’axe de rotation de la Terre provoque un réchauffement brutal. Les glaciers fondent et refluent vers le nord, les grands troupeaux fuient vers la Sibérie et le niveau des mers monte subitement de 120 mètres. Par vagues successives, les différentes essences arborées se lancent à la conquête de l’Europe. Les hommes voient la forêt envahir leurs territoires de

chasse. L’arbre devient sacré, célébrant par son tronc l’union de la terre et du ciel. Les hommes deviennent des chasseurs solitaires, guettant avec leur arc et leurs flèches le passage du bison, de l’auroch, du cheval sauvage, du cerf, du chevreuil et du sanglier. Il y a 6 000 ans, la vie nomade de

chasseur-cueilleur disparaît au profit de la domestication des plantes et des animaux. Début du Néolithique. Devenu agriculteur et sédentaire, l’homme défriche, laboure, bâtit des villes, retient et détourne des cours d’eau, assèche des marais. Il modifie l’évolution du vivant mais la course est lente et s’égrène en milliers d’années. De nombreuses espèces bénéficient des nouveaux environnements créés par l’homme, jusque dans sa maison. Partout où il se répand à travers le continent, il aménage une mosaïque

de petits habitats qui favorisent la biodiversité des milieux ouverts. Pourtant, progressivement, l’homme tourne le dos à la nature en s’enfermant dans des cités toujours plus grandes, plus populeuses.

unerêve histoirede l’EuropeB

DSTÉPHANE DURAND

Depuis deux siècles, l’exploitation massive des énergies fossiles marque le territoire de l’empreinte de l’homme, chaque jour plus lourde. Désormais, l’homme sature l’espace et c’est la nature qui se retrouve isolée. L’équilibre est rompu, le monde bascule. L’homme est devenu une force géologique. Les modifications qu’il impose sont si rapides que rares sont les espèces en mesure de s’y adapter. Les animaux favorisés par l’homme au fil des siècles précédents se trouvent soudain menacés : oiseaux, grenouilles, escargots, insectes… Les plus banals se raréfient. Nos printemps deviennent presque silencieux ; moineaux et hirondelles disparaissent de nos villes sans que l’on y prenne garde.

Mais dans sa précipitation vers les mégapoles, l’homme a abandonné derrière lui de vastes territoires qu’il occupait en masse il y a peu… Retour des friches, retour des bois, retour des grands mammifères, retour du loup et des vautours… des espèces que l’on croyait disparues se réapproprient de nouveaux espaces de liberté. A pas lents, le sauvage serait-il de retour ?

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J’ai tenté avec la musique des Saisons d’inscrire le film dans l’univers du conte naturel. La densité musicale par rapport à celle de l’image a été ma

préoccupation constante. Ainsi, la musique est souvent perçue dans le

lointain comme des chants parmi les sons de la forêt.

Elle colore la bande-son avec une certaine mélancolie

plus qu’elle ne commente la situation. Elle marque

également le temps et le passage immuable des

Saisons par des vibrations de cloches, marimbas, vibraphones, boîtes à

musique et des légers glissés de cordes et de harpes. j’ai pensé l’orchestration en fonction de la spatialisation avec des échos de bois, percussions

et cordes.

Bruno Coulais est un compositeur français, né à Paris le 13 janvier 1954. De formation classique, il a d’abord été compositeur de musique contemporaine de concert avant d’être connu

pour ses musiques de films.Sa carrière a évolué au fil de ses rencontres et notamment de celle du réalisateur François Reichenbach, qui lui confia, en 1977, la musique du documentaire Mexico Magico. Il composera alors sa première musique pour un long-métrage en 1986 : Qui trop embrasse de Jacques Davila. Avec Microcosmos

naît une longue et étroite collaboration entre Jacques Perrin et Bruno Coulais avec des films aussi divers qu’Himalaya, Le Peuple Migrateur, Les Choristes et Océans.

COMPOSITEUR DE LA BANDE ORIGINALE DU FILM

R U N OC OUL AISB

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leso u l i s s e sdu filmC

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hercheurs d’or en quêteC d’images fabuleuses

es mammouths sont entrés dans Paris, les baleines, les phoques et les dauphins remontent la Seine, les aurochs font résonner leurs mugissements dans les forêts profondes de Bourgogne, les

esturgeons encombrent le Rhône, les bouquetins dansent dans les calanques aux portes de Marseille, les pluies d’éphémères enchantent les chaudes soirées d’été… Des histoires comme celles-ci, nous en avons rempli toute une malle en nous promenant dans les livres et les laboratoires, en rencontrant de nombreux chercheurs, en multipliant les points de vue. Nous sommes des chercheurs d’or en quête d’images fabuleuses. Pour raconter 20 000 ans d’histoire des animaux sauvages d’Europe, nous avons pris le temps de musarder dans le vaste univers des sciences, le temps de réfléchir, de rêver, de nous tromper. Est-il possible de faire un film de cinéma sur un sujet que l’on ne maîtrise jamais complètement ? Il faut probablement une bonne dose d’inconscience pour se lancer dans pareille aventure. Chaque film est un pari avec l’enthousiasme pour seul guide. Le film Les Saisons est doublement risqué puisque, à la dimension spatiale, nous avons ajouté la dimension temporelle. Il faut oser se perdre pour trouver. Notre scénario est resté ouvert le plus longtemps possible à l’imprévu, au doute, à la

surprise. Liberté maximale de l’écriture. Sur le papier, tout est possible. Cette liberté, nous l’avons conservée jusqu’au montage, ce qui rend d’autant plus délicat le travail de tous ceux qui organisent le plan de travail, préparent le budget, repèrent les décors, travaillent avec les animaux : des scènes entières peuvent disparaître du jour au lendemain, réduisant à néant leurs efforts… Nous avons surtout passé beaucoup de temps sur le terrain, auprès des animaux sauvages, pour tenter de capter l’instant magique. La nature est un plateau de cinéma où l’on ne maîtrise pas l’éclairage. Il faut attendre, s’armer de patience et se fondre dans le milieu. Ne pas savoir où l’on va est le seul moyen de conserver intactes la curiosité qui nous anime depuis le début, l’envie d’aller y voir d’un peu plus près. Il s’agit de comprendre des êtres parfois très proches qui, eux aussi, s’expriment, ressentent, vibrent de désirs et de peur, partagent notre territoire et notre histoire. Il se passe quelque chose autour de nous qui vaut la peine qu’on s’en soucie un peu, qu’on s’y attarde, et dont l’expérience est toujours enrichissante. Pour transmettre cette émotion, il nous faut abandonner la position de l’observateur lointain et surplombant pour participer au mouvement même de la vie et plonger au coeur de l’action, parmi les animaux, parmi les “observés”, et vivre comme eux le monde qui les environne.

L

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imprégnationL ’imprégnation est une technique qui permet d’atteindre la proximité nécessaire pour transmettre les émotions que nous souhaitons. Elle permet de retrouver une familiarité

perdue car, après des siècles de chasse intensive, les animaux sauvages ont acquis le réflexe de fuir l’homme bien plus loin qu’ils ne fuient leurs prédateurs naturels. Il faut bien comprendre que ce comportement de survie n’est pas “normal”, il est même aberrant au regard des millénaires passés durant lesquels animaux sauvages et hommes vivaient dans une grande proximité. Quelque chose que l’on retrouve aujourd’hui uniquement sous l’eau ou dans les contrées les plus reculées, les régions polaires ou les grands parcs nationaux où nous avons pu réaliser les séquences des films Océans et Le Peuple migrateur. L’imprégnation permet à l’animal de vivre sa vie sans crainte,

de vaquer sans contrainte à ses occupations en ignorant l’équipe des cinéastes tout proches, à charge pour eux d’en mettre en images les plus beaux moments. Le jeune animal naît avec la peur au ventre mais aussi avec un besoin vital de contact et de chaleur corporelle. L’enjeu, pour l’imprégnateur, est de désamorcer au plus vite cette crainte atavique en prenant l’animal en charge aussitôt après sa naissance. L’imprégnateur joue ainsi le rôle d’une mère de substitution. Il associe sa présence aux moments de plaisir comme la tétée, le sommeil ou le jeu. À l’inverse du dressage, l’imprégnation instaure une relation de confiance quasi fusionnelle. Les imprégnateurs le disent régulièrement : “Il faut de l’amour maternel à revendre pour exercer ce métier” qui exige de nombreuses compétences. Et une disponibilité totale : les animaux ne connaissent ni les vacances ni les week-ends…

L’

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iste des animaux présents dans le filmL

Cerf Lièvre Bouquetin Marmotte Sanglier Chamois

Renne Boeuf Musqué Renard Cheval Konik Polski Bison d’Europe Cheval de Przewalski

Ours Brun Phoque Veau Marin Élan Hérisson Écureuil Loutre

Loup d’Europe Lynx Mulot Sylvestre Martre Rat Surmulot Lapin de Garenne

Genette Rat des Moissons Loir Blaireau

LES MAMMIFÈRES

LES OISEAUX

Vautour Fauve Héron Cendré Martin Pêcheur Pinson du Nord Oie Cendrée Balbuzard

Cigogne Blanche Étourneau Cincle Plongeur Chouette Chevêchette Grand Corbeau Hibou Moyen Duc

Autour Chouette Harfang Huppe Fasciée Grand Cormoran Grue Cendrée Hibou Grand Duc

Chouette Hulotte Tourterelle des Bois Choucas Chouette Effraie Mésange Bleue

Mésange Charbonnière Merle Noir Pigeon Ramier Moineau Friquet Geai

Pie

Perdrix Rouge

Salamandre Tachetée Lucane

ET LES AUTRESVerdier

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IEUX DE TOURNAGEL En France

AIN (RHÔNE-ALPES)

Villars les Dombes (01330) : Forêt des Dombes

Chambereins les Ayots, Saint Trivier sur Moignans (01990) :

Louveteaux

Saint-André-de-Corcy (01390) : Premiers pas du jeune faon

Brenaz (01260) : Le refuge ; l’ours sort de la forêt

Le Grand Abergement (01260) : Plans de drone ; forêt enneigée

Hauteville-Lompnes (01110) : Prédation du lynx sur la jeune biche

Brenod (01110), combe de Lechaud, et Montuel (01120), étangs des Mouilles :

Le peuple de l’herbe

Hotonnes (01260), plateau du Retord : L’hiver dans le Jura

ALLIER (AUVERGNE)

Mariol (03270) : Guépiers

ALPES-MARITIMES (PROVENCE-ALPES-CÔTES D’AZUR)

Thorenc (06750) : Plans de la Réserve des Monts-d’Azur

Saint-Martin-Vésubie (06450) : Plans du Parc national du Mercantour

ARDENNES (CHAMPAGNE-ARDENNE)

Signy-l’Abbaye (08460) : Les cigognes noires construisent leur nid

AVEYRON (MIDI-PYRÉNÉES)

Aubrac Laguiole (12210) : Les animaux dans les fleurs

BOUCHES-DU-RHÔNE (PROVENCE-ALPES-CÔTES D’AZUR)

Salin-de-Giraud (13129), mas Les Marquises :

Course de chevaux en Camargue

Saintes-Marie-de-La-Mer (13460), cabane de Cacharel : Manade

CALVADOS (BASSE-NORMANDIE)

Cléville (14370) : Les abeilles qui butinent

Bretteville-sur-Laize (14680) et Boulon (14220) :

Travelling passereaux

CANTAL (AUVERGNE)

Mourjou (15340) : Les saisons du châtaignier ;

Genette commune

CÔTE D’OR (BOURGOGNE)

Couchey (21160) : Divers animaux dans les fleurs - faons,

martres, sangliers, renardeaux

DRÔME (RHÔNE-ALPES)

- Font d’Urles (26190) : La chouette Harfang et le cairn

FINISTÈRE (BRETAGNE)

Doualas (29460) : Abbaye et Saint-François

GARD (LANGUEDOC-ROUSSILLON)

Alès (30100) : Orages

INDRE-ET-LOIRE (CENTRE)

Ballans Miré (37510) : Le tronc et le héron

ISÈRE (RHÔNE-ALPES)

Lans en Vercors (38250), plateau des Gagères :

La source cristalline et la croissance du chêne

JURA (FRANCHE-COMTÉ)

Crotenay (39300) : Grues sur forêt d’automne

La Châtelaine (39600), forêt du Cul-des-Forges : Une biche ; le défrichage

Brainans (39800) : Le merle et l’intrus

LOIRE-ET-CHER (CENTRE)

Vernou en Sologne (41230), forêt de La Borde : La chasse à courre

Chambord (41250), château de Chambord, Bois Trémal :

Le Brame du cerf ; la chasse à courre

LOIRET (CENTRE)

Briare (45250), lieu-dit La Sente des Mulets : La flotte Royale ; Balbuzards

Orléans (45000) : Le héron, le sterne et la rivière

Saint-Benoît-sur-Loire (45370), île des Mahyses : Loutres ; renarde

LOT-ET-GARONNE (AQUITAINE)

Port-Sainte-Marie (47130), lieu-dit Las Gravas :

Les moissons heureuses

Saint-Front-sur-Lémance (47500), château de Bonaguil : Le cheval de guerre

Montpezat (47360) : Château

LOZÈRE (LANGUEDOC-ROUSSILLON)

Nasbinals (48260), lieu-dit Les Nègres : Fleurs

MARNE (CHAMPAGNE-ARDENNE)

Massiges (51800) : Les temps modernes ; Première Guerre

mondiale

HAUTE-MARNE (CHAMPAGNE-ARDENNE)

Chameroy (52210) : Le rut du sanglier

NIÈVRE (BOURGOGNE)

Cosnes-sur-Loire (58200) : Grues sur forêt de printemps

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IEUX DE TOURNAGELOISE

(PICARDIE)

Chantilly (60500) : Domaine et forêt de Chantilly

Rosières (60440), verger Terres Fraîches : La biche fuit les pesticides

Baie de Somme (60000) : Phoques dans la baie de Sommes

ORNE (BASSE-NORMANDIE)

Flers (61100) : Grues et bocage normand

PAS-DE-CALAIS (NORD-PAS-DE-CALAIS)

Berk (62600) : Le tronc à l’estuaire

PUY-DE-DÔME (AUVERGNE)

Espinasse (63390) : Plans de drones ; élévation le long d’un

tronc

Clermont-Ferrand (63000) : Orages

P Y R É N É E S - A T L A N T I Q U E S (AQUITAINE)

Banca et Urepel (64430), forêt du Baigorry, et Saint-Just-Ibarre (64120),

forêt du Pic du Belchou : Prédations

Laruns (64440), Vallée d’Ossau : Vautours en vol

HAUTES-PYRÉNÉES (MIDI-PYRÉNÉES)

Vallée de la Barousse (65370) : Grand Tétras

PYRÉNÉES-ORIENTALES (LANGUEDOC-ROUSSILLON)

Les Angles (66210), parc animalier : L’ours part hiberner

RHÔNE (RHÔNE-ALPES)

Courzieu (69690), zones de Chazeaux et du Blanchet :

La campagne romaine,

SAVOIE (RHÔNE-ALPES)

Modane, Bramans et Aussois (73500), col du petit Mont Cenis, vallon d’Orgère :

Les marmottes voient l’ours arriver ; les bouquetins regardent passer l’ours ; le

refuge et le parcours de l’ours

St Julien Mont Denis (73870), vallée de la Maurienne : Le rut du bouquetin

HAUTE-SAVOIE (RHÔNE-ALPES)

Talloires (74290) : Roc de Chère et paysages

Pringy (74370) :

Forêt et prairies

Les Houches (74310), parc des Merlets : Les marmottes voient l’ours arriver

Saint-Gervais-les-Bains (74170), le Nid d’Aigle :

Les bouquetins regardent l’ours passer

SEINE

Paris (75008) : Place de la Concorde

DEUX-SÈVRES (POITOU-CHARENTES)

Bessines (79000) : Parade de l’outarde

SOMME (PICARDIE)

La Chaussée-Tirancourt (80310), parc de Samara :

Le nouveau monde ; la maison du Néolithique

HAUTE-VIENNE (LIMOUSIN)

Limoges (87000) : Orages

ESSONNE (ILE-DE-FRANCE)

Ormoy (91540) : Une forêt silencieuse

En France À l’Étranger PAYS-BAS

Parc Oostvaardersplassen, Lelystad : Grand troupeau d’ongulés en Hollande ; survol troupeaux de chevaux

POLOGNE

Parc National de Bielowiecza et Parc National de Biebrza, Région de Podlaskie : Bisons ; forêts primaires ; corbeaux

ROUMANIE

Libearty Bear Sanctuary Zarnesti, Brasov : Ours, oursons, rivière

ROYAUME-UNI

Rothiemurchus Fish Farm, Rothiemurchus, Aviemore, Inverness-Shire, Ecosse : Prédation des balbuzards sur les poissons

NORVÈGE

Hauts-plateaux du Nord de la Norvège : Age de glace

Parc naturel du Dovrfjell, Hjerkinn :troupeaux de bœufs musqués ;

Oppdal:troupeaux de rennes dans le blizzard

SUISSE

Bulle, Canton de Fribourg : Des nuées de pinsons du nord rejoignent leur dortoir

Vallorbe, Canton de Vaud : La rivière et le cincle plongeur

ÉTATS-UNIS

Presque Isle, État du Maine

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a paroleLscientifique

ERIC BARATAY, professeur d’histoire contemporaine à l’université Lyon-III

«Les animaux ont participé et participent encore abondamment à de grands évènements ou à de lents phénomènes de civilisation. Le versant animal de l’histoire est épique, contrasté, tourmenté, souvent violent, parfois apaisé, quelquefois comique. Il est fait de chair et de sang, de sensations et d’émotions, de peur, de douleur et de plaisir, de violences subies et de connivences. L’animal vivant ne peut plus être un trou noir de l’histoire.»

PHILIPPE DESCOLA, professeur d’anthropologie sociale au Collège de France

«Retracer cette longue histoire en images et vue à travers le regard animal, c’est un formidable défi qu’il est urgent au plus haut point de relever pour continuer à être humain sans avoir à rougir de notre condition.»

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GILBERT COCHET, Professeur agrégé de svt, expert auprès du Conseil de l’Europe

« La faune de notre pays est aujourd’hui réduite en nombre d’espèces ; ses effectifs sont dérisoires et les animaux sont apeurés après des siècles de chasse. Notre pays offre pourtant des conditions d’accueil idéales pour la faune sauvage. L’objectif est simple : préserver le maximum de sanctuaires en évolution libre, restaurer des corridors entre ces zones protégées et réintroduire les espèces disparues. Quand le bestiaire sauvage sera reconstitué, complet, abondant et confiant, le temps de la nouvelle alliance sera revenu.»

JEAN-DENIS VIGNE, directeur du Laboratoire d’archéozoologie et d’archéobotanique du cnrs au Muséum national d’histoire naturelle

« L’urbanisation nous éloigne de plus en plus du monde vivant non-humain, qu’il soit sauvage ou domestique. La fracture est de plus en plus profonde. Cette coupure a généré à la fois une méconnaissance du sauvage et une crainte excessive à son égard. Aujourd’hui, le grand public a soif de redécouvrir le monde animal. C’est là l’intérêt de films comme ceux de Jacques Perrin et de Jacques Cluzaud : ils sont de formidables caisses de résonance pour les résultats scientifiques mais aussi, et peut-être surtout, ils cristallisent un “air du temps” : après des siècles d’éloignement progressif et d’oubli, on s’intéresse à nouveau au point de vue animal.»

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e s p ar ten ai re sLFONDATION BETTENCOURT SCHUELLER

« Donner des ailes au talent », c’est le moyen choisi par la Fondation Bettencourt Schueller depuis près de trente ans pour contribuer à la réussite et au rayonnement de la France.

Créée par une famille, confiante dans l’homme et ses capacités, attachée à l’initiative, à la créativité, à la qualité et à l’ouverture, la Fondation est portée par des convictions qui définissent son esprit et ses façons de travailler, pour le bien commun, sans but lucratif et dans un objectif de responsabilité sociale.

Son action se déploie dans trois principaux domaines d’engagement : - les sciences de la vie (recherche, formation scientifique, diffusion de la culture scientifique),- les arts (cinéma, métiers d’art, chant choral),- et le social (apprentissages, lien social, amélioration de l’impact social).Pour cela, elle décerne des prix et soutient des projets par des dons et un accompagnement très personnalisé. Depuis sa création à la fin des années 1980, elle a soutenu 450 lauréats et 1 500 projets portés par diverses équipes, associations, établissements, organisations.

Dans ce cadre, la Fondation a soutenu quelques grandes productions cinématographiques qui célèbrent la beauté du monde vivant, favorisent une prise de conscience de la fragilité de notre environnement et promeuvent une vision humaine de notre avenir. Ces grandes réalisations contribuent aussi à la diffusion des connaissances, par les passerelles qu’elles établissent entre les scientifiques, les éducateurs, les médiateurs et les publics, notamment jeunes.

Depuis plus de 15 ans Jacques Perrin et la Fondation Bettencourt Schueller ont noué une relation heureuse et féconde.Après Le Peuple migrateur et Océans, la Fondation lui a renouvelé son soutien dès la phase d’écriture de son nouveau projet Les Saisons, un regard nouveau sur l’histoire de l’Europe depuis la fin de la dernière glaciation. Convaincue du rôle de l’image pour éveiller à la beauté du monde vivant et saisir sa fragilité, la Fondation Bettencourt Schueller a souhaité permettre le développement et la réalisation de ce film dans les meilleures conditions.

La curiosité, la beauté, l’émerveillement sont des leviers puissants pour éduquer et sensibiliser les jeunes et moins jeunes aux immenses richesses de la nature et à la nécessité que nous avons d’agir pour préserver notre planète.

Le voyage proposé par Les Saisons est une ode sensible qui interpelle avec bienveillance les consciences.Après le Peuple Migrateur et Océans , le Groupe EDF est fier aujourd’hui de soutenir Les Saisons et en cela, de saluer l’œuvre d’amoureux indéfectibles des animaux et de la nature, que sont Jacques Perrin, Jacques Cluzaud et leurs équipes. Accompagner ses publics vers une meilleure maîtrise de leur consommation d’énergie et lutter contre le changement climatique sont, de longue date, des engagements forts du Groupe EDF, acteur majeur de la croissance bas carbone.

EDF

En apportant son soutien au documentaire Les Saisons, Rolex s’associe à la démarche de Jacques Perrin de célébrer la beauté du monde sauvage. La marque partage avec le réalisateur un même goût pour les territoires inexplorés et une même envie de repousser les limites.

Depuis la création de l’Oyster en 1926, première montre-bracelet étanche au monde, Rolex a constamment mesuré ses montres aux éléments, en mer comme sur terre. Et Rolex continue aujourd’hui d’équiper et de soutenir, notamment par les Prix Rolex à l’esprit d’entreprise, des aventuriers qui, à travers leurs exploits et leur engagement, sensibilisent sur les questions environnementales et œuvrent à la préservation de la nature.

ROLEXUne fenêtre sur la splendeur du monde

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En juin 2006, S.A.S. le Prince Albert II de Monaco a décidé de créer Sa Fondation afin de répondre aux menaces préoccupantes qui pèsent sur l’environnement de notre planète. La Fondation Prince Albert II de Monaco œuvre pour la protection de l’environnement et la promotion du développement durable. La Fondation soutient des projets dans trois principales régions géographiques : Le bassin méditerranéen, les régions polaires et les pays les moins avancés. Les actions de la Fondation se concentrent sur trois domaines principaux : le changement climatique et les énergies renouvelables, la biodiversité, et la gestion intégrée et durable des ressources en eau et la lutte contre la désertification.

Pour en savoir plus : www.fpa2.com / http://facebook.com/FondationPrinceAlbertIIdeMonaco

FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO

De nombreux sites qui apparaissent dans Les Saisons font partie de Natura 2000, un réseau européen qui offre une protection vitale aux habitats et espèces menacés. Natura 2000 est le plus grand réseau au monde en son genre, et est au cœur des efforts de l’UE pour protéger la biodiversité.

L’UE est fière de contribuer au financement de Les Saisons, un film spectaculaire qui met en valeur les merveilles de la nature de l’Europe.

UNION EUROPÉENNE

CENTER PARCS

Après chaque film animalier, se pose la question du devenir des animaux qui en sont les acteurs. Comment leur offrir le repos qu’ils méritent, et où les accueillir ?

Quand ils se sont rencontrés, Jacques Perrin réalisait le film Les Saisons, Gérard Brémond engageait la réalisation d’un nouveau Center Parcs dans la Vienne..

Ensemble, ils ont imaginé que ce nouveau site, le Domaine du Bois aux Daims, pourrait accueillir une partie des animaux du film Les Saisons. Ce partenariat permet ainsi aux visiteurs du Domaine d’approcher et de découvrir de manière privilégiée les coulisses de la vie animale.

Pour Jacques Perrin comme pour Gérard Brémond, « c’est un premier pas pour réaliser l’importance de la préservation d’espaces de liberté dans lesquels la faune sauvage peut s’exprimer sans contrainte ».

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Appl i c at i on Mor ph o si s

L ’Les Saisons : Morphosis est une expérience narrative et ludique tirée du long-métrage de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud, Les Saisons, en salles le 27 janvier 2016. L’application, gratuite sur iOS et Android, retrace sous la forme d’un jeu documentaire, les grandes étapes de l’évolution des paysages en Europe depuis 20 000 ans.

Entre la série d’animation et le jeu vidéo, Morphosis vous invite à participer à la grande épopée de notre environnement. Remontez le temps pour découvrir les métamorphoses du paysage. Vivez une aventure fabuleuse en famille, traversez des millénaires d’évolution pour mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Vous découvrirez comment les espèces animales et végétales se sont adaptées sans cesse au fil des siècles jusqu’à aujourd’hui.

Les Saisons : Morphosis est une application produite par Small Bang, Galatée, France TV Nouvelles Écritures, France TV Éducation, Pathé, avec le soutien du CNC.

Application Disponible Gratuitement

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RÉSUMÉ :

Livre de référence du film, l’ouvrage cherche, par ses dimensions, son texte, ses photographies splendides et insolites à prolonger l’émerveillement suscité par le film. Il propose aussi de répondre aux nombreuses questions d’ordre scientifique, historique, philosophique ou technique qu’il soulève. Enfin, un livret scientifique accompagne l’ouvrage. Rédigé par quatre spécialistes, Eric Baratay, historien, Jean-Denis Vigne, archéozoologue et biologiste, Gilbert Cochet professeur de biologie et naturaliste et Philippe Descola, anthropologue, il nous éclaire non seulement sur la vie singulière des animaux sauvages, mais aussi sur ce qui nous relie à eux de manière indéfectible, comme membres d’une même famille.

es LivresLSi la nature a une géographie, elle a également une histoire. C’est ce que ce beau livre propose de faire découvrir au lecteur à travers une chronique de l’Europe sauvage depuis 20 000 ans, racontée exclusivement du point de vue des animaux.

Le Beau Livre

Relations presse :Sophie PateyTél. 01 55 42 14 [email protected]

D’après le film de Jacques Perrin et Jacques CluzaudTextes de Stéphane DurandParution en librairies le4 Novembre 2015Format 29 x 31,7 cm280 pages - 36,00 €410 photographies en quadri, ouvrage relié + jaquette américaine comprenant un livret scientifique.Actes Sud

RÉSUMÉ :

Il était une fois Noctiluca, une chouette qui voyageait à travers les forêts et les campagnes en racontant aux animaux leur histoire et en faisant des tours de magie… Neuf histoires racontées par Jacques Perrin qui évoquent avec imagination et humour les épisodes marquants de la vie de la nature européenne depuis 15 000 ans, comme le mariage de la rivière avec la forêt ou le jour où les rennes ont sauvé les Zomes de l’hiver éternel… Directement inspiré du film Les Saisons de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud, ce livre-CD offre une incursion poétique dans le monde de la faune et de la flore.

Neuf contes animaliers inspirés du film, racontés par Jacques Perrin.

Les Contes des Saisons

Textes de Stéphane Durand, illustrations de Claire de Gastold.Contes racontés par Jacques PerrinDès 4 ansParution en librairies le 4 Novembre 2015.Format 28,5 x 34 cm – 56 pagesLivre-CD, durée 44 minutes – 18,00 €Actes Sud junior

D’après le film de Jacques Perrin et Jacques CluzaudTextes de Stéphane Durand etClaire Laurens.Illustrations de Guillaume ReynardDès 7 ansParution en librairies le 4 Novembre 2015.Format 25 x 32 cm56 pages – 13,00 €Actes Sud junior

Un cahier d’activités pour prolonger de façon ludique et active, l’aventure du film.

Le Cahier d’Activités

RÉSUMÉ :

Il y a 15 000 ans, le dernier âge de glace touche à sa fin en Europe. Les glaciers fondent, laissant place à une forêt luxuriante qui accueille une multitude d’animaux. Ce cahier prolonge l’aventure du film Les Saisons de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud, et permet de comprendre ce grand bouleversement qui a changé la vie de nombreuses espèces, depuis le dégel jusqu’à aujourd’hui. Un cahier d’activités pour les amoureux de la nature !

Un beau livre documentaire pour accompagner la sortie du film.

RÉSUMÉ :

Il y a 15 000 ans, l’ère glaciaire s’achève en Europe. La glace, la steppe et la toundra cèdent la place à une immense forêt qui se peuple de milliers d’espèces : aurochs, cerfs, loups, écureuils, oiseaux... Dans ce livre, on retrouve les animaux du film et leurs luttes pour survivre et parfois s’adapter aux cycles climatiques et à l’empreinte toujours plus forte des hommes. On se replonge dans les magnifiques décors du film : plaines et forêts sauvages, mais aussi campagnes et paysages urbains d’aujourd’hui. Un voyage étonnant et poétique, à hauteur d’animal, qui célèbre la beauté de la faune et de la flore, tout en donnant à comprendre ce qui lie et parfois sépare l’homme et les autres espèces dans le partage de notre planète.

Relations presse :Nathalie Giquel

Tél. 01 55 42 63 [email protected]

D’après le film de Jacques Perrin et Jacques CluzaudTextes de Stéphane Durand Dès 8 ansParution en librairies le 4 Novembre 2015.Format 22 x 28 cm88 pages – 14,00 €Actes Sud junior

Le Livre Documentaire

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Comme acteur, il a tourné dans plus de 80 films. En Italie, avec Valerio Zurlini, Mauro Bolognini, Vittorio De Seta. En France, avec Costa-Gavras, Jacques Demy, Pierre Schoendoerffer.En 1968, à 27 ans, il se lance dans la production de Z de Costa-Gavras qui obtient 2 Oscars. Suivent deux autres films du même réalisateur : Etat de siège et Section spéciale. Jacques Perrin produit aussi La victoire en chantant (Black&White in colors) de Jean-Jacques Annaud qui reçoit également un Oscar. Sa société produira une trentaine de films. En 1989, c’est avec le réalisateur Gérard Vienne qu’il découvre le monde animalier et produit Le peuple singe. Il a ensuite produit plusieurs films qui portent sur la nature et le monde animalier : en 1996, Microcosmos de Claude Nuridsany et Marie Pérenou puis, en 1997, Le Peuple Migrateur, en collaboration avec Jacques Cluzaud et Michel Debats.En 1999, il produit Himalaya, l’enfance d’un chef d’Éric Valli. Quelques années plus tard, il produira deux films de Christophe Barratier Les Choristes et Faubourg 36. A partir de 2003, il produit et coréalise Océans (5 ans de tournage), qui obtient le César du Meilleur Film Documentaire. Il cosigne en 2010 L’Empire du milieu du Sud avec Eric Deroo.

JACQUES PERRIN

Après des études de droit puis de cinéma, Jacques Cluzaud est premier assistant réalisateur pendant les années 1980 sur des films comme Vaudeville, Flagrant désir, Bille en Tête, Indochine ou Lumumba puis il passe à la réalisation, notamment sur des films en formats spéciaux pour le Futuroscope de Poitiers. Il signe la réalisation du Peuple Migrateur et d’ Océans aux côtés de Jacques Perrin.

JACQUES CLUZAUD

Biologiste, ornithologue, journaliste scientifique, il participe comme co-auteur et conseiller scientifique aux aventures cinématographiques de Jacques Perrin depuis 1997 : Le Peuple Migrateur et Océans pour le cinéma, Les Ailes de la Nature pour la télévision,Voyageurs du Ciel et de la Mer pour le Futuroscope de Poitiers. Par ailleurs, il signe les documentaires Sur les Terres du Panda et La Nuit des Eléphants ainsi que les livres associés aux films Le Peuple Migrateur, Océans et aujourd’hui Les Saisons.

STEPHANE DURAND

alatée - À la découverte du monde vivantG

1989 20 novembre 1996

18 Novembre 2003

12 Décembre 2001 27 janvier 2010

4 September 2011

SÉRIES DOCUMENTAIRES

SORTIES EN SALLE

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Un film de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud Scénario Jacques Perrin Jacques Cluzaud Stéphane Durand Musique Bruno Coulais Montage Vincent Schmitt Son Philippe Barbeau Martine Todisco Jérôme Wiciak Armelle Mahé Gérard Lamps Images Stéphane Aupetit Michel Benjamin Jérôme Bouvier Laurent Charbonnier Philippe Garguil Eric Guichard - AFC Laurent Fleutot Sylvain Maillard Christophe Pottier Jan Walencik

Comité scientifique Gilbert Cochet Jean-Denis Vigne Eric Baratay Assitants réalisateurs Vincent Steiger Martin Blum Responsables animaliers Pascal Tréguy Marie-Noëlle Baroni Eric Bureau Marie Noëlle Divet Post-production Sophie Vermersch Christian Guillon Etalonnage Laurent Desbruères Eric Guichard Développement technique Alexander Bugel Edgar Raclot Jean-Michel Rivaud Producteur Exécutif Olli Barbé Production Lydia Montes Johann Mousseau Dimitri Billecocq

ProducteursJacques Perrin

Nicolas Elghozi

Assistante de Jacques Perrin Patricia Lignières

Coproducteur

Romain Le Grand

Conseillers scientifiquesFrançois Sarano, Membre de l’Académie de ValencePhilippe Descola, Professeur au Collège de France

Jean-Marie Pelt, Président de l’Institut Européen d’EcologieAllain Bougrain-Dubourg, Président de la Ligue de Protection des Oiseaux

Gilles Bœuf, Président du Muséum d’Histoire Naturelle de ParisYves Coppens, Professeur au Collège de France

Yvon Le Maho, Membre de l’Académie des SciencesJesse Ausubel, Richard Lounsbery Foundation

Aucun animal n’ a été maltraité pour les besoins du tournage de ce film.

Durée du film : 95’Format : 2.40 Scope

DCP 4KSon : 5.1 – 7.1 & Dolby Atmos dans les salles équipées.

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